Figeac le 2 Mai 2012
Monsieur Nicolas Sarkozy, Président de la république,
Monsieur Le président de la république,
Je vous ai adressé deux longues lettres ….
Je vous ai adressé des dizaines de messages…
Je n’eus droit qu’à votre silence … C’est méprisant.
Sous vos yeux, les racistes agressent, violentent, violent les lois et les valeurs de la république.
Sous vos yeux, les services de l’état agissent comme jadis, au cours des pages sombres de l’histoire de France.
Sous vos yeux, Le procureur de la république de Cahors protège un hors-la-loi.
Sous vos yeux, un juge du Conseil de prud’hommes du Lot a siégé et délibéré alors qu’il fait partie des proches de la partie adverse.
Sous vos yeux, la cour d’appel d’Agen a pris une décision dont le caractère discriminatoire est clairement posé.
Vous préférez défendre Florence que Rabah, j’en conclus que vous n’aimez pas la diversité fraternelle, juste, courageuse et qui a permis à la république de survivre à toutes les agressions afin qu’un jour, vous puissiez être à sa tête.
J’en conclus aussi que votre choix est foncièrement discriminatoire.
Alors Monsieur le président de la république,
Non seulement je ne voterai pas pour vous, mais aussi j’appelle tous les citoyens épris de justice à vous exprimer démocratiquement leur indignation.
Monsieur le Président, le 6 mai 2012 à 20 heures, je fêterai votre départ…
Monsieur Le président, jusqu’à cette date, vous avez la possibilité de prononcer ma déchéance de la citoyenneté française.
Alors, soyez courageux !
Respectueusement
Hacène Rabah Bouguerra,
Un citoyen spolié avec la complicité des services de l’état.
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