En 2008, M. Exiga Jean-Claude dont j’avais fait le
président de l’association, en 1999,
décida de me spolier. En fait, je l’avais compris tardivement …c’était
son objectif et il usera de tous les moyens, même illégaux pour y
parvenir. M. Exiga n’a même pas le Bac
pour pouvoir prétendre gérer une telle
structure…D’ailleurs, il l’a conduite à la liquidation judiciaire …avec un
passif particulièrement élevé !!
Pour me dépouiller, il s’est associé à Mme Martignac
Monique (Se dit membre de l’UMP) et M. Couchouron Yves (Se dit militant du PS)…
et un certain Cayre Guy qui se revendique comme un ancien syndicaliste.
M. Exiga et ses complices était en situation
d’illégalité absolue mais les services de l’Etat et de la justice l’ont laissé
faire…La loi du 1er juillet 1901était violée dans toutes ses
dispositions, pour permettre une spoliation comparable à celle que connurent
les juifs au cours de la seconde guerre mondiale.
Des plaintes ont été déposées pour faux et usages de
faux témoignages, extorsion de témoignage et même pour prise illégale d’intérêt
et abus de biens sociaux. Où sont passés les 200 000 € ? Toutes mes plaintes ont été classées sans
suite sauf la dernière, à propos de laquelle la gendarmerie semble ne pas
épouser la position de la justice. En effet, alors que la justice ne s’est pas
prononcée, la gendarmerie m’indique qu’elle a été classée sans suite. Bien sûr,
vous l’avez compris, cette décision ne relève pas de la Gendarmerie. Alors le
Défenseur des droits est saisi.
Naturellement, tous les éléments dont je fais état ici
sont soutenus par des preuves irréfutables… Mais c’est ainsi. M. Exiga a
sollicité un faux témoignage par écrit à mon ancien collaborateur, lui
promettant, en contrepartie, une
régularisation financière !
Pire encore,
devant le conseil de prud’hommes, un certain M. Blanchon Gérard, ancien
collègue et ami de Mme Martignac- à l’origine, c’est elle qui voulait ma tête -a siégé,
délibéré et jugé comme si de rien n’était …M. Le Procureur général ne conteste
pas du tout cette relation et m’indique qu’il n’y a rien à faire.
Le comble de l’injustice se produira devant la cour
d’Appel. A quelques mois d’intervalle, cette juridiction a traité mon appel
puis celui de mon ancien collaborateur (Souvenez-vous, celui à qui M. Exiga
demandait de témoigner contre moi …mais sitôt le témoignage remis, il le
licencia à son tour). La comparaison des 2 arrêts laisse perplexe : sur 2
points communs, la classification des postes de travail et la rémunération des
heures supplémentaires, la cour d’appel
prit une décision nettement en faveur de mon ancien collaborateur. L’incroyable
est le fait qu’elle classe le collaborateur nettement au-dessus du directeur
que j’étais. A cette occasion la chambre sociale était présidée par Mme Martres
Françoise. Vous la connaissez ? Si… le mur des cons qui lui vaut une
poursuite ! Mais aussi, à cause du précédent président de la république …Régulièrement,
par médias interposés, ils échangent de façon particulièrement vive !
Ainsi, Mme Martres a pris à mon égard une décision discriminatoire dont le
caractère raciste est clairement établi. Allons, si le mot raciste, gêne…nous
dirons qu’elle applique le droit à la tête du client ! Ce qui n’est guère
honorable pour la justice de la république !
J’ai déposé plainte contre Mme Françoise Martres
auprès du CSM (Conseil supérieur de la magistrature, l’organe déontologique)
qui m’informe que ma requête est irrecevable au motif que je n’aurais pas cité
nommément la magistrate. Ce qui est absolument faux (Ma plainte est sur le blog). En outre,
franchement, a-t-on besoin de citer le nom du responsable d’une décision de
justice. Le CSM n’est pas du tout ébranlé par mon accusation de racisme. Sa
réponse prêterait à rire si ce n’était la gravité de la situation.
L’action
contre mon avocate.
La cour de
cassation rejette mon pourvoi.
Pourquoi ? Mon avocate que j’ai payée, n’a pas
remis le moyen né de la comparaison des 2 arrêts, celui de mon ancien
collaborateur et le mien.
Malgré ses engagements maintes fois réitérés, elle ne
l’a pas fait. Pourquoi ?
Elle a tout simplement refusé de s’expliquer.
La faute professionnelle est clairement établie et
devrait engager sa responsabilité civile.
Devant son silence, j’ai saisi le président de l’ordre
des avocats au conseil d’état et à la cour de cassation.
A - La saisine
de l’ordre :
La procédure devant l’ordre, entamée en janvier 2013, vient de se terminer
…Représentée successivement par deux cabinets
d’avocats j’ai dû présenter analyse sur analyse, pour finalement aller devant
la cour de cassation. Ce n’est pas normal, mais ainsi est taillée la procédure.
Aujourd’hui, le citoyen a la possibilité de conduire
tout professionnel ayant commis une faute devant un tribunal mais pas un avocat
et encore moins un avocat inscrit auprès d’une haute cour. Ce n’est pas normal
mais c’est ainsi.
B - Pourquoi
n’a-t-elle pas remis à la cour de cassation ce moyen ?
Toutes les hypothèses sont permises. Je ne les évoque
pas aujourd’hui devant vous. Je le ferai devant la cour de cassation.
Cependant, chacun est en droit de poser et de classer toutes les hypothèses.
C - Quelles
actions reste-t-il ?
- J’ai déposé
plainte contre la gendarmerie (qui veut que la précédente plainte soit classée sans suite alors qu'elle ne l'est pas) auprès du Défenseurs des droits car l’action
interne y compris au niveau de l’IGGN n’a rien donné. J’attends sa décision.
- L’action contre mon avocate est dans son ultime
phase : la cour de cassation est saisie.
- D’autres actions sont en préparation notamment celle
qui vise la responsabilité de l’Etat …
Alors qu’en
dites-vous ?
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