vendredi 29 juillet 2011

La cour de cassation saisie

Comme les juifs au cours du dernier conflit mondial, j’ai été spolié de mon outil de travail avec la complicité de toutes les instances de la république :

1 – La Halde a été à l’origine de cette spoliation grossièrement maquillée en licenciement. La Halde a été jusqu’à refuser de me restituer le dossier que je lui avais confié. Elle espère ainsi qu’aucune action en justice ne sera entreprise.
Le dernier président de la Halde, et il a été le seul à le faire, a accepté de signer un courrier en contradiction totale avec les éléments du dossier qu’il détient.
Je le lui répète, ici : engagez une action en justice contre moi. Il ne le fera pas car il sait que sa position sur ce dossier est contraire aux missions assignées à la Halde.

2 – Les services de l’Etat, ont fait du président de l’association, structure de l’organisme de formation que j’avais créé, un véritable propriétaire d’un organisme privé. La préfecture, aussi, a refusé de me remettre une copie du dossier, alors que j’étais un administrateur légalement désigné.
La loi du 1er Juillet 1901, est violée dans toutes ses dispositions. Cette situation ne semble choquer ni la préfecture, ni les instances de justice saisies.
La préfecture a les moyens d’apporter la contradiction. Elle ne le fait pas.

3 – J'ai saisi Monsieur Le Président de l’assemblée nationale, Monsieur Le Président du Sénat, plusieurs centaines de députés, plusieurs dizaines de sénateurs, de nombreux hommes et femmes politiques ….Nul ne semble ébranlé par cette situation. La liste nominative sera affichée dans les prochains jours.

4 – Monsieur Le président de la république auquel je me suis adressé à deux reprises… ne semble guère ému par le déni de justice auquel je suis confronté depuis bientôt trois ans.

Je me battrai jusqu’au dernier souffle de ma vie, pour le triomphe de la justice.



Soutenez mon action en la faisant connaître !
Merci,  mille et une fois.





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