Un salarié du Défenseur des droits , M. Fabien Dechavanne,
fait ce qu'il veut ... Le pire traitement des victimes .
Mais alors pourquoi dépenser tant d'argent pour rien ?
Ce n'est pas demain que l'Etat de droit sera restauré.
_________________________________
Rabah
Bouguerra
21 avenue Julien Bailly, 46100 Figeac
Figeac,
le 15 novembre 2022.
Lettre ouverte à
Madame Claire Hédon, Défenseur des droits.
Libre réponse 71120, - 75342 Paris Cedex 07
Dossier : 22 020043
Copie à
Monsieur Emmanuel Macron, Président de la
République.
Monsieur
Eric Dupond-Moretti, Ministre de la justice.
Objet :
signalement d’une situation de discrimination à caractère raciste… le silence
de vos services.
Madame,
Le
25 juillet 2022, j’ai porté à votre connaissance une situation de
discrimination qui me frappe. En effet, j’ai déposé ma candidature auprès du
Rectorat de Toulouse pour un simple poste de professeur de français et à ce jour je n’ai obtenu aucune réponse
alors que je suis titulaire de plusieurs diplômes d’études supérieures.
Première anomalie !
Vos
services m’ont répondu très rapidement mais de toute évidence ils n’avaient pas
compris que je n’étais pas un fonctionnaire de l’éducation nationale. J’ai
signalé cette erreur mais vos services n’ont pas réagi.
Cependant,
je dois vous dire que vos services m’ont suggéré de saisir les médiateurs du
Rectorat dont ils m’avaient communiqué les noms et les coordonnées.
C’est
ce que je fis, immédiatement.
Deuxième anomalie !
Deux
jours plus tard, je reçus un appel de Monsieur Cabanis (Un des médiateurs) qui
après un échange rapide me suggéra de consulter les liste d’aptitude sur le
site dédié au recrutement. Observez ! C’est un appel, ainsi il n’y a pas de
trace ! Or ces listes n’existent pas ou du moins elles sont introuvables.
Monsieur Cabanis alerté, ne donne aucune suite. Je vous précise que je n’ai
aucune réponse écrite de ce médiateur.
Troisième anomalie !
Je
reviens vers votre collaborateur, Monsieur Fabien Dechavanne, en portant à sa
connaissance l’état de traitement de ma requête. M. Fabien Dechavanne observe
le même silence que le médiateur du Rectorat.
Entre
temps, j’ai entrepris la même démarche d’obtention d’un poste de professeur
auprès du Rectorat de Bordeaux. A ce jour, je n’ai obtenu aucune réponse. Tout
se passe comme si ces institutions, comme la vôtre d’ailleurs, ne pouvaient pas
s’autoriser à m’adresser une réponse négative. Peut-être, auraient-elles été
dans l’obligation de la motiver. Sur ce terrain, elles ne voulaient pas
s’aventurer comme vos services d’ailleurs.
La réalité est beaucoup plus
grave et triste !
Voilà
quelques années, j’avais critiqué une décision rendue publique de Madame Najat
Vallaud-Belkacem, alors Ministre de l’Education nationale, à propos du
recrutement de 1 000 professeurs de Laïcité ! Depuis l’idée fut vite abandonnée
tant elle était à contre-courant ! Mais cette critique me valut d’être
inscrit sur une liste noire. Je ne fus même admis à la réserve de l’éducation
nationale. Je suis convaincu que cette liste antirépublicaine et parfaitement
illégale existe toujours. Pire que tout, elle fait de moi un condamné à
vie ! Voilà la réalité de l’état de droit.
Que
les services de l’Etat, y compris ceux de l’Education nationale traitent avec
mépris des citoyens qui ont apporté un soutien décisif à la République et qui
peuvent encore le faire, n’a rien d’étonnant. Que Monsieur Fabien Dechavanne,
en fasse pareil, en votre nom, est inadmissible. Si son silence signifie que le
Défenseur des droits est dans l’incapacité à faire triompher les valeurs de la
République, alors qu’il disparaisse ! Son budget colossal pourrait aider
la France à retrouver la place qu’elle n’aurait jamais dû quitter.
Rabah Bouguerra
Victime
d’un racisme barbare, spolié comme dans
les années 40…
Pourtant,
partout des professeurs manquent …
https://www.ladepeche.fr/2022/11/14/lot-labsence-de-professeur-de-francais-inquiete-les-parents-deleves-au-lycee-champollion-de-figeac-10802365.php
Pièce n° 1 - Votre courriel du 25 juillet 2022.
stephanie.dekens@defenseurdesdroits.fr
Lun. 25 juil. 16:16
Défenseur des droits
Numéro de dossier : 22-020043
Monsieur,
Vous avez attiré l’attention du Défenseur des droits sur les
difficultés que vous rencontrez dans le cadre de votre activité professionnelle
au sein de la fonction publique, et vous sollicitez son intervention.
Sensibles à vos préoccupations, nous vous informons qu’en
application de l’article 10 de la loi organique n° 2011-333 du 29 mars 2011
relative au Défenseur des droits, hormis les situations de discrimination
fondées sur un critère prohibé, celui-ci ne peut intervenir dans les différends
qui peuvent s’élever entre, d’une part, les administrations et les organismes
investis d’une mission de service public et, d’autre part, leurs agents, à
raison de l’exercice de leurs fonctions.
Tel est notamment le cas des litiges ayant pour objet le
statut, la rémunération, le déroulement de carrière ou la gestion des emplois
des agents publics en activité.
Pour régler votre différend, nous ne pouvons que vous
conseiller d’exercer les recours administratifs et juridictionnels dont vous
disposez.
En outre, nous vous suggérons de faire appel à l'un des
médiateurs académiques de l'académie de Toulouse:
André Cabanis
Norbert Champredonde
Rectorat
75 rue Saint Roch
CS 87 703
31 077 Toulouse
tél : 05 36 25 89 02
mediateur@ac-toulouse.fr
Pour connaître le rôle des médiateurs académiques : https://www.education.gouv.fr/le-mediateur-de-l-education-nationale-et-de-l-enseignement-superieur-41528
Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes
salutations distinguées.
Fabien DECHAVANNE
Le Directeur du Réseau et de l'Accès aux Droits
Pièce
n° 2 - le service du Défenseur des
droits n’a pas compris la teneur de ma réclamation et il ne me répond pas
Hacène - Rabah Bouguerra <h.r.bouguerra@gmail.com>
Sam. 6 août 16:11
À stephanie.dekens
Madame, Monsieur,
Je vous précise que je ne suis pas salarié de l'éducation
nationale mais que je suis candidat à un
poste de professeur.
Le rectorat de Toulouse refuse de me répondre. J'ignore les raisons
exactes de ce silence mais je pense qu'il y a
dans cette situation, une motivation à caractère discriminatoire que la
loi réprime.
Sans attendre je vais saisir le médiateur du rectorat de Toulouse.
Cordialement.
Rabah Bouguerra.
Pièce
n° 3 – Le 4 octobre 2022 - Je porte à la connaissance du Défenseur des droits,
le résultat de mes démarches. Aucune réponse
Hacène - Rabah Bouguerra <h.r.bouguerra@gmail.com>
Pièces jointes
4 oct. 2022 16:06
À stephanie.dekens
Conformément à vos indications, j'ai saisi le médiateur du rectorat de
Toulouse (Lettre ci-jointe)
Quelques jours plus tard, M. Cabanis (Le Médiateur) m'a appelé pour me recommander de consulter les listes d'aptitude. Je précise qu'il s'agit d'un simple échange verbal.
Il est clair que je suis victime d'une horrible discrimination.
Je sollicite l'intervention du Défenseur des droits.
Dans l'attente de votre réponse, je vous prie d’agréer, Madame,
Monsieur, mes salutations distinguées. Rabah Bouguerra.
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