Du
« complotisme » … au « séparatisme »…ou quand Marianne
régale. …
Du
« complotisme » au charlatanisme
Il
n’y a pas très longtemps, en l’espace de quelques jours, le masque est passé
d’inutile à obligatoire y compris pour les jeunes écoliers et collégiens. Comment
a-t-on pu leur infliger un tel supplice ? Vous aviez osé émettre des
réserves et vous voilà gratifiés d’un sentencieux attribut : vous êtes « complotistes » !
De dangereux « complotistes » ! Et que dire de la vaccination
anticovid, et des graves décisions qui s’en suivirent… Il a plu des
suspensions ! Priver des familles entières de revenus, n’avait ému que
les gens du peuple. Ils ont enfin reconnu
leur faute et rétabli les citoyens dans leur droit mais le combat n’est
pas terminé pour autant…Vous êtes toujours « complotistes » … ou
peut-être vous a-t-on viré vers une autre case, celle des « séparatistes » !
Mais où voyez-vous le « séparatisme » ? Ah ! est « séparatiste »
, celui qui ne partage pas vos idées ? Sournoisement , vous pointez du
doigt les musulmans en affirmant que c’est l’islamisme que vous dénoncez et
comme vous posez un diagnostic totalement faux, vous proposez un remède de
charlatans !
Saluons
la mémoire de Samuel Paty et respectons le deuil de ses proches … C’est
indécent d’évoquer ce drame pour justifier tant de dérives d’une gestion aussi
anachronique.
Marlène
Schiappa, une ministre en difficulté.
C’est
à Marlène Schiappa , secrétaire
d’Etat, à la citoyenneté, qu’est revenue la mission d’éradiquer le « séparatisme »
qui, selon des discours fleuves virant à la cacophonie, mine la République. .
Les services de Marlène Schiappa ( ou plutôt le préfet Christian Gravel, secrétaire
général du CIPDR – le comité interministériel ….ouf !) lancèrent un appel à projets qui bien entendu diffère d’un appel d’offres
et recueillirent des prestataires qui
parfois n’ont soumis aucune réelle proposition. Les réponses, des uns et des
autres, à la commission d’enquête du Sénat, , révèlent une situation ubuesque.
Si
nous nous en tenons au document réglementaire, « l’appel à
projet », nous n’en apprenons rien et nous comprenons les dérives qui
s’en suivirent. Le Sénat souligne que certaines propositions ont des contenus
islamophobes. Voilà de quoi déglinguer encore plus la République ! En
réalité, l’objectif « de lutte
contre le « séparatisme » hormis la déclaration de Marlène Schiappa,
ministre de la citoyenneté, sur le projet de loi « confortant le respect
des principes de la République et de lutte contre le « séparatisme »,
à l'Assemblée nationale, le 28 juin
2021, le document officiel ne nous apprend rien. En réalité, tout ce jargon n’est
pas de nature à clarifier la situation. En clair, les services de Mme Schiappa ,
n’exposent pas les attentes du gouvernement. En fait, il n’y a pas de projet et
les événements qui suivront en feront la démonstration.
Et
c’est ainsi que Marlène Schiappa conclut sa prestation : « c'est donc
dans cet état d'esprit que le Gouvernement participera, aujourd'hui et toute
cette semaine, à vos travaux. Le ministre de l'intérieur, Gérald Darmanin, et
moi-même, ainsi que les autres membres de l'exécutif, nous avons la certitude
que c'est dans cet état d'esprit de responsabilité et d'union républicaine que
nous mènerons ensemble cette seconde lecture. (Applaudissements sur les bancs
des groupes LaREM et Dem.) » …Une sombre clarté enveloppa l’hémicycle.
Nous
avons cherché l’appel d’offres , il est en principe public . En fait , il
s’agit d’un appel à projets dont le contenu est trop succinct pour pouvoir
déboucher sur des actions concrètes et des résultats palpables. Rajoutez à cela
toute l’opacité que souligne le Sénat, et vous obtenez une diffusion
restreinte, extrêmement restreinte . Rassurez-nous
si « séparatisme » il y a, il
ne sévit pas qu’en région parisienne ?
Mais
qui pilote cette action ?
Plus
étonnant encore, est la réaction de Sonia
Backès, secrétaire d’Etat à la citoyenneté, (celle qui a remplacé Marlène
Schiappa) devant la commission d’enquête du Sénat. Elle s’insurge contre le
fait qu’on ait rendu public la liste des 17 associations lancées dans la
bataille contre le « séparatisme ». Sonia Backès souhaite,
peut-être, qu’aucune information ne
filtre. La « reconquête des territoires perdus de la République. ».
est une mission autrement plus urgente et plus importante que la lutte contre
« le séparatisme », à coups de contenus multimédias, si excellemment
construits, soient-ils. En réalité, l’exécutif ne semble pas reconnaître cette
observation due à de fins connaisseurs du paysage politique français. Madame la
secrétaire d’Etat ne sait sans doute pas que tout ce processus d’habilitation
doit être conforme à un code des marchés publics adapté aux spécificités de
l’action. On ne peut pas défendre le principe d’une gestion aussi opaque des
fonds publics.
Devant
la commission du Sénat, Sonia Backès
affirme sans hésiter : « sur 17 associations 15 ont produit des
résultats formidables ». C’est à mourir de rire mais il ne faut pas se
laisser aller devant la gravité des faits. (Bien sûr, vous ne saurez rien ni sur les 15
ni sur les 2 autres). Tout semble indiquer que Sonia Backès n’a écouté ni
l’évaluation des sénateurs ni celle de Mohamed
Sifaoui, lui-même, pourtant qualifié de « caution scientifique », par le Préfet Christian Gravel qui, comme vous le savez, avait démissionné dès
les premières turbulences (Le 6 juin 2023). Lors de son audition, Mohamed
Sifaoui, lui-même avait qualifié ses tweets de « nullités ». Cela
fait cher, trop cher , le tweet nul ! Quand nous lui avions souligné, ses
faiblesses, ses maladresses et ses contradictions, il nous a tout simplement
bloqués sur twitter comme sur Facebook. Qui peut prétendre que ce monsieur
qui se dit journaliste, essayiste et expert ( dans la lutte contre
l’islamisme !) est en capacité de défendre la République ne serait-ce que
par des mots ! La « caution scientifique » se débine !
C’est à mourir de rire ! Pauvre France !
Des contenus
multimédias pour contrer le « séparatisme ».
Enfin,
qui peut croire que des contenus multimédias, si excellents soient-ils, puissent
lutter contre le « séparatisme » ? Il faut être à la fois ignorant et naïf pour
croire en un tel miracle. La « caution scientifique » le sait mais
elle va dans le sens de ce qu’on lui demande pour ne pas tarir la source de
confortables revenus !
Attention
, nous ne disons pas que cette communication n’est d’aucun intérêt . Elle est
nécessaire, si elle est bien faite, car
en face , on en produit, sans doute
mille fois plus ! L’énorme différence qui sépare les deux camps est la
motivation des acteurs. Les uns veulent, avant tout, s’assurer un financement
et parfois de confortables revenusl quand les autres fédèrent une population
abandonnée et soumise aux viscicitudes de la vie.Interrogez la « caution
scientifique » ! Parcourez les réseaux et vous remarquerez rapidement
ceux qui se croient investis d’une mission divine !
Le fait de la
princesse !
Retournons
aux péripéties ! Une commission issue du CIPDR retint une liste de 17
associations dont SOS-Racisme mais Marlène Schiappa retira cette dernière.
SOS-Racisme ( comme les autres) n’apporte absolument rien à l’éradication de
ce mal qui ronge la République, bien au contraire. Marlène Schiappa avait sans
doute raison,si on excluait le différend personnel, cependant, elle prit une
décision dont le caractère discriminatoire
est évident.. C’est un délit que la loi punit. La qualité
de membre du gouvernement en fait une circonstance aggravante. Le Sénat quant à lui ne retient que le fait du prince.
En l’espèce, il aurait dû utiliser le féminin En effet, pourquoi
SOS-Racisme et pas les autres ? Pourtant, toutes n’appoprtent absolument
rien à la République et nous ne parlons pas de celles qui ont été créées juste
pour émarger à ce fonds si généreux.
Interrogé
sur les réseaux, Dominique Sopo, président de SOS-Racisme s’insurge de la décision
prise et regrette même l’absence de la
LDH qui n’a rien à envier aux autres : la LDH est une calamité pour la
République. Quant nous avions interrogé Malik
Salemkour, à l’époque président de la LDH,
sur les réseaux sociaux, il nous a bloqués imitant en cela son homologue
, Dominique Sopo. Celui-ci va-t-il poursuivre Marlène Schiappa devant les
tibunaux ? Nous ne le pensons pas : un petit arrangement fera bien
l’affaire ! En attendant , les dirigeants de SOS-Racisme comme ceux de la
LDH et de toutes les autres associations s’honoreraient à rendre public leurs
rémunérations. Cela devrait être obligatoire pour faire grandir la République
et la démocratie.
On
trouve aussi parmi les bénéficiaires la Licra qui ne lèvera jamais le petit
doigt pour défendre un musulman victime de discriminations et de racisme. La
Licra ne se défendra pas d’être communautariste !
Au fait , pourquoi le président de la Licra n’a pas été entendu publiquement
par la commission d’enquête ? Et, au passage, la Licra avait-elle besoin
d’une subvention étant donné qu’elle-même en a accordé à la Fraternité générale
sur ses fonds propres ?
L’opacité
est partout et l’absence de transparence semble arranger tout le monde, absolument tout le monde : le
gouvernement comme les «offreurs » de services. Il vaut mieux faire croire
qu’on agit en usant d’une communication à l’air du temps !
Des intervenants
… devenus experts
Une
palme spéciale revient à Ahlam Ménouni,
Présidente de Reconstruire le commun (subvention de 300 000 €, pourtant
elle parlait 450 000, voire plus), est pathétique : croit-elle
vraiment que ses sketchs sont la
solution ? Certains sont de nature à diviser le peuple français plutôt que
de le rassembler. Elle ne semble pas percevoir l’erreur ou la faute.
Nous
avons aussi écouté avec attention les
interventions de, Abdennour Bīdar, Président
de Fraternité générale, Xavier Desmaison,
Président de Civic Fab, Rudy Reichstadt,
Président de Conspiracy Watch, Baptiste Larroudé- Tasei, délégué général de
Fraternité générale et Fabienne Servan-Schreiber, membre du
bureau Fraternité générale. Nous n’apprenons rien sur les actions proposées
hormis les publications sur Tik-Tok, Instagram …et encore moins sur les
résultats obtenus. Rappelons qu’il s’agit de lutter contre le
« séparatisme »…qui selon nous est juste une vue de l’esprit.
Mohamed Sifaoui…
la « caution scientifique ».
Mohamed
Sifaoui sait comment et pourquoi l’islamisme
s’est développé dans son pays d’origine et il sait que ce qu’il propose avec
les autres prestataires, n’a aucun
impact sur un phénomène qui se développe depuis de nombreuses années
déjà. Et c’est ainsi que 2,5 millions d’euros furent distribués, dépensés,
dilapidés … Le PNF est saisi , c’est à lui que revient le dernier mot !
Mohamed
Sifaoui, directeur des opérations (Il faut que cela fasse commando !) au
sein de l’Useppm (l’union des sociétés d’éducation physique et de préparation
militaire) (Toujours commando !) parade en chef. L’Useppm est une
association créé en 1885 ( Comme dirait M. de la Palisse , avant la loi de 1901
qui régit les associations) . Elle serait au cœur d’une autre bataille judiciaire avec les
nouveaux dirigeants de l’association : embrouille, embrouille, embrouille … à suivre !
Mohamed
Sifaoui se dit anti-islamiste mais seulement sur les plateaux de télé. Il s’en
prend toujours avec véhémence à Tariq
Ramadan, aujourd’hui totalement disqualifié. Nos sages le disent :
c’est quand le taureau est à terre que les égorgeurs se multiplient. Il s’en
prend aussi à Latifa Ben Ziaten en
qualifiant son foulard de serpillère. Ce n’est pas la tenue de Mme Ben Ziaten
qui pose problème mais son niveau de formation et de compréhension de ce qui
agite la société. Elle est quasiment analphabète ce qui ne l’empêche pas de
faire la tournée des établissements scolaires. Sa présence est une offense au
corps enseignant. Quels résultats a-t-on obtenus avec ses discours d’une grande
niaiserie ? Rien , vous observerez que les interventions de la
« caution scientifique » ne font guère mieux. Deux officiers de
sécurité sont à son service même à l’étranger et il en est de même pour M.
Sifaoui. Ainsi se résument les faits d’armes de Mohamed Sifaoui.
Tout
se passe comme si la France n’avait pas d’autres priorités.
Il
est légitime et indiscutable que Latifa Ben Ziaten honore la mémoire de son
fils aussi souvent qu’elle le décide. Cependant, ces moments intimes doivent
demeurer dans la sphère privée qu’elle peut, bien entendu, partager avec ses proches.
M.
Sifaoui est (ou était) aussi directeur de la communication du club de foot du
Sco d’Angers ( jusqu’en janvier 2023, au moins) , en outre, il bénéficiait de 2
contrats, l’un avec l’Etat et l’autre dans le cadre du fonds Marianne,
Interrogé par les sénateurs, sur cette situation difficile à croire et à
expliquer, Mohamed Sifaoui, rétorqua qu’il « avait des capacités de travail
supérieures à la moyenne ! » Rien que ça ! « Koukou yachkor
rouhou ! » , une expression algéroise qui raille l’autocongratulation
que connaît M. Sifaoui et dont il semble être un adepte!
Il
faut juste se poser une question à propos de M. Sifaoui : qu’a-t-il
apporté à la République ?
Il
faut cependant reconnaître à Mohamed Sifaoui des qualités de fin stratège au
service de son propre parcours. De migrant de relative fraîche date, il s’est
hissé presque au sommet de l’Etat qui lui attribue des qualités imméritées. Peu
de personnes peuvent se targuer d’un tel exploit. Il lui manque juste la légion
d’honneur !
Enfin,
il est tout de même curieux que tous ces experts n’aient pas pensé à la plus
efficace des vidéos, celle qui mettrait les islamistes en ébulition. Avec une
mise en scène soignée, de divines créatures aux formes ensorcelantes, exécutant
une danse orientale sur une musique envoûtante dans un décor paradisiaque et en
quelques minutes les « séparatistes » se rendraient les uns après les
autres …
La commission
d’enquête décrit un énorme fiasco.
Le
rapport de la commission d’enquête est sévère dans ses conclusions mais
particulièrement juste et mesuré. Quelle suite aura-t-il ? L’avenir nous
le dira. Il nous laisse toutefois sur notre faim : de quelle somme, du
fonds Marianne, chacune des 17 associations
a bénéficié ?
Mais alors, quelle
serait la solution ? l’éducation, l’éducation et l’éducation !
Si
ce projet est d’une redoutable inefficacité mais quel serait le remède pour la
République. La réponse à ce phénomène est éducative. C’est l’éducation qui
sauvera la République et rien d’autre. Elle doit être le fer de lance de la conquête
des territoires perdus. L’outil principal existe depuis de très nombreuses
années. C’est le Daeu (le diplôme d’accès aux études universitaires) dans une
formule développée, à travers tout le territoire , les banlieues et les zones
rurales. Aujourd’hui les universités, délivrent, bon an , mal an, 5 000 diplômes…Nous pourrions passer immédiatement et sans dépenser des folies à …50 000 voire 100 000 par
an. En moins de 5 ans, le paysage social, économique et politique de la France sera
totalement transformé . C’est de là , que naîtra le « réenchantement des
valeurs de la République » et non de ces gadgets aussi coûteux que
totalement inutiles.(1)
Nous
ne pensons pas que ces acteurs connaissent le Daeu, son histoire, son intérêt
et ses vertus citoyennes. Le meilleur d’entre eux serait à peine capable d’aligner quelques
mots sur ce dispositif qui fait ses preuves mais malheureusement à petite
échelle.
Quand
nous avons voulu lui donner une dimension digne de son statut, nous avions
avions proposé à Manuel Vals , alors
Premier ministre, « le projet de développement du Daeu dans les banlieues
et les zones rurales », son Directeur de cabinet nous adressa, en retour, un courier
enthousiasmant nous assurant qu’il transmettait le projet à Najat Vallaud-Belkacem. Par ce fait
même, le projet fut mis aux arrêts. Pour la ministre de l’éducation nationale,
ce projet n’est pas le sien et il ne passera pas, tant pis pour les citoyens
pénalisés et même discriminés. Les lois qui régissent le fonctionnement des
gouvernements français sont souterraines, sournoises, et même obscures.Un
ministre peut faire ce qu’il veut même au détriment de la République. Pour
s’assurer de l’enterrement définitif du Daeu, elle nous mit sur liste noire.
Après
avoir créé Euro-Med (L’institut
euro-méditerranéen d’études de recherche, de formation et de promotion des
valeurs universelles), en citoyens têtus, nous avions aussi essayé de réintroduire
le projet par le biais de la commune (Figeac)
et par celui de la région (Occitanie),
peine perdue, seules les actions rigolotes et d’aucun intérêt, ont des chances
de plaire ,
Les
missions d’Euro-Med correspondent aux réponses qu’attendent les services de
l’Etat mais Euro-med est si loin de Paris !
Le
Daeu est la réponse éducative de base autour de laquelle devront se greffer
d’autres, afin que l’égalité des chances devienne réalité. La préparation du
Daeu met à l’épreuve en la consolidant la fraternité. Sans justice l’éducation
serait elle-même génératrice des mêmes maux. La République se doit de mettre en
place une justice infaillible et au besoin un système de régulation rapide et
efficace. Or ces présidentes et présidents d’association, écoutez-les, n’en
parlent même, rendant leurs discours inaudibles et leurs actions inutiles.
La
République n’a pas d’autres choix pour vaincre le
« séparatisme , elle doit
mettre en place une justice digne des grandes démocraties. Aujourd’hui, sa justice est la catastrophe nationale. Seule
la réparation des dysfonctionnements de la justice, pourra « réenchanter »
les valeurs de la République. Vous êtes sur les réseaux non ? (2)
Nous
vous retrouverons bientôt sur les réseaux dits sociaux , vous n’allez pas nous
bloquer ? Ce serait le signe d’une grande lâcheté…
Rabah Bouguerra –
Psychologue du travail – Président d’Euro-Med.
Les association
bénéficiaires du fonds Marianne
L’Useppm, 355 000 €
Reconstruire le commun : 300 000 ou 450 000 € ?
Fraternité générale ?
Conspiracy watch ?
Civic Fab ?
La licra ? (Pas d’audition publique)
SOS-Racisme ? ( retirée de la liste)
Et les autres ?
La commission
d’enquête sénatoriale.
Claude Raynal, Président.
Lundi 24 avril 2023, conférence de presse.(Présentation
de la mission)
Jeudi 6 juillet 2023, présentation du rapport.
Jean-François Husson, rapporteur
Les
auditions :
Sébastien Jallet, préfet de l’Orne, ancien
directeur de cabinet de Marlène Schiappa, mercredi 7 juin 2023.
Julien Marion, directeur de cabinet de Sonia
Backès, mercredi 7 juin 2023.
Sonia Backès, secrétaire d’Etat à la citoyenneté. Mercredi
14 juin 2023.
Mohalmed Sifaoui, directeur des opérations de
l’Useppm, jeudi 15 juin 2023.
Christian Gravel, secrétaire général du Cipdr,
mardi 16 mai 2023.
Jean-Pierre Laffite, secrétaire général adjoint du
Cipdr, mardi 16 mai 2023
Fraternité générale, Civic Fab, et Conspiracy
watch, mardi 30 mai 2023.
Cyril Karunagaran ,Président de l’Useppm, .mercredi
31 mai 2023.
Ahlam Ménouni, Présidente de Reconstruire le
commun, mercredi 31 mai 2023.
Marlène Schiappa, ministre, anciennement chargée
de la citoyenneté, mercredi 14 juin 2023.
Mohamed Sifaoui, directeur des opération de l’Useppm,
jeudi 15 juin 2023.
(1)
Le
Diplôme d’accès aux études universitaires (Daeu) : un ascenseur
social ? Editions du bord du Lot mai 2013
(2)
Dans
l’enfer de la République - https://danslenferdelarepublique.blogspot.com/