M.
Rabah Bouguerra
21
avenue Julien Bailly46100 Figeac
Tél.
05 65 34 71 92
E-mail :
h.r.bouguerra@gmail.com
Figeac, le 13 Août 2012.
Madame Martine Aubry
Première secrétaire du Parti socialiste
10, rue de Solferino
75007 Paris
Objet :
Je sollicite votre intervention.
Madame,
Par
lettre recommandée du 13 Juillet 2012, J’ai appelé votre attention sur le déni
de justice dont je suis victime. A ce
jour, je demeure dans l’attente de votre réponse et de votre soutien. Je
suis particulièrement inquiet par le
silence que vous observez, vous qui représentez la première force politique de
notre pays.
Si
vous pensez qu’une spoliation, semblable à celles que connurent les juifs au
cours des pages sombres de l’histoire de France, est un acte anodin, alors vous avez raison de ne pas me répondre.
Si
vous pensez, qu’un pseudo militant socialiste s’associant à une activiste de
l’UMP, pour réaliser un sordide forfait, puisse continuer à faire valoir une
appartenance qu’il a trahie, alors vous avez raison de me tourner le dos.
Si
vous pensez qu’une cour d’appel qui pratique de la discrimination à caractère
raciste, soit une situation banale, alors vous avez raison de vous taire !
Si
vous pensez qu’un procureur de la république qui protège des hors-la-loi au
détriment d’un citoyen, est un acte conforme au projet socialiste de justice,
alors, vous avez raison de ne rien dire.
Si
vous pensez qu’il est normal que ceux qui sont appelés à juger une affaire,
soient les amis d’une des parties, en
conflit, alors vous avez raison de ne
pas répondre à mes appels.
Vous
trouverez ci-joint une copie de ma requête au Conseil supérieur de la
magistrature (CSM), par laquelle je dénonce, tout en apportant la preuve, que
le magistrat de la cour d’appel d’Agen, a bien pris à mon égard une décision
dont le caractère raciste ne fait aucun doute.
Naturellement,
toutes les autres plaintes ainsi que l’ensemble des pièces justificatives, sont
à votre entière disposition.
Je
souhaite que vous m’aidiez à faire triompher la justice.
Sans
réponse de votre part, je rendrai publiques mes deux correspondances.
Je
vous rappelle que cette affaire sera jugée par la cour de cassation le mardi 18
septembre 2012.
Je
vous prie de croire, Madame, à
l’assurance de ma considération distinguée.
Pour plus de
détails…
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