Qu'on ne vous raconte pas d'histoire ! les valeurs de la république, ils s'en tapent. Si tu sembles venir d'ailleurs, si tu sens le musulman ... La république que tu as servie, ne te reconnait même pas.
Voici ma lettre à M. le ministre de l'intérieur ...un envoi en recommandé avec avis de réception.
Rabah Bouguerra
21 avenue Julien
Bailly46100 Figeac
Tél. 0565347192 ou 0679652322
E-mail. h.r.bouguerra@gmail.com
Figeac le 24 juin 2016.
Monsieur Bernard Cazeneuve,
Ministre de l’intérieur
Place Beauvau
75008 Paris.
Envoi en recommandé avec avis de réception.
Objet : Demande
de mise en place d’une enquête.
Monsieur Le
Ministre,
Sur
un volumineux dossier où le déni de justice apparaît à chaque page, la
gendarmerie et l’Iggn, ont contribué à ma spoliation : en effet, par requête du 30 Janvier 2012, adressée
à Monsieur le Procureur de la république, je dénonçais une prise illégale d’intérêt
et Abus de biens sociaux, suite à la disparition des comptes de mon ancien
organisme de formation (adc, association pour le développement des compétences),
de la somme de 200 000 €.
1 – la gendarmerie a commis
un acte illégal.
Le
11 juin 2013, la gendarmerie m’appelle pour me dire : « Votre plainte
est classée sans suite. » Je fis immédiatement remarquer à l’enquêtrice
que son appel est un acte illégal. « Je sais, me répondit-elle, c’est
illégal mais on m’a donné ordre de le faire et je le fais. »
C’est
de la pression voire de l’intimidation que la gendarmerie a exercée sur ma personne.
2 – L’Iggn rejette ma requête
en invoquant un document qui n’existe pas.
Après
en avoir échangé avec la hiérarchie au niveau départemental, qui ne reconnaît
aucune faute, j’ai saisi l’Iggn qui dans sa réponse du 3 février 2013, rejette
ma requête en faisant référence à une décision du procureur de la république du
10 juillet 2013. Or cette décision n’existe pas car Monsieur le Procureur de la
république n’a toujours pas donné de suite à ma plainte.
Quand
j’indique à l’Iggn que la pièce à
laquelle, elle se réfère n’existe pas, elle décida d’observer n silence absolu.
Compte
tenu de la gravité des faits, je vous demande de diligenter une enquête. En
effet, je suis victime du racisme le plus sordide de la part d’individus qui
apparemment bénéficient de toutes les protections.
Je
suis universitaire et j’ai servi la république pendant près de 20 ans mais cela
ne semble pas faire de moi un citoyen à part entière.
Si
ma déclaration comporte un seul mot qui puisse être considéré comme diffamant,
je vous suggère de solliciter ma déchéance de la citoyenneté française.
Je demeure à
votre entière disposition.
Je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à
l’expression de mon parfond respect.
Rabah Bouguerra
Pièces jointes :
Mes
requêtes adressées l’Iggn
-
1 -Le 21
décembre 2012
-
2 -Le 10
janvier 2013
-
3 -Le 6
février 2013
-
4 -Réponse
de l’Iggn n°383 du 3 février 2014.
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