Défenseur des droits, services de l'état, justice, que font-ils pour la protection des citoyens?
mardi 7 novembre 2017
mardi 26 septembre 2017
Lydia Guirous, une femme politique...!
Lydia Guirous, femme politique…C'est ainsi qu'elle est présentée un peu partout. Elle a déjà tout écrasé…et gagné un titre reconnu :
islamophobe !
Le 8 avril 2017, Thierry
Ardisson recevait dans son
émission : Salut les terriens !
Sonia Mabrouk, journaliste à Europe 1, Lcp-Public Sénat, Cnews….et j’en oublie, sans doute, Mohammad Marwan, Directeur exécutif du Ccif, le
collectif contre l’islamophobie en France …J’ai consacré deux pages aux deux
premiers et voici le tour de Lydia Guirous …
Sonia Mabrouk :
Mohammad Marwan
Ces trois personnalités ont pour
point commun une origine nord-africaine,
tunisienne pour la première, égyptienne pour le deuxième et algérienne pour
Lydia Guirous…Pour le reste, tout les oppose. Ce constat devrait surtout nous
inciter à nous méfier des généralisations hâtives : l’arabe-type, le
maghrébin- type ou l’africain-type comme le français-type n’existe pas
.
Sonia Mabrouk veut passer pour la
française pur beurre…et cette posture
plaît aux auditeurs et téléspectateurs. Elle est quasiment neutre quand il
s’agit de traiter un sujet en lien avec le Maghreb ou la Palestine. Hier, dimanche 24 septembre, J’étais surpris
qu’elle demeurât sans voix devant une journaliste, à priori pro-israélienne qui
évoquait un crime antisémite ( que je condamne sans hésitation aucune ) mais en
généralisant ses conclusions et en récusant les diagnostics relatifs à la
santé mentale de certains auteurs d’attentats, pourtant produits par d’éminents
experts de la République. Même la Tunisie, son pays natal, n’est que rarement
présente dans ses propos. Ce sont ses compagnons des Grandes voix d’Europe 1,
qui s’en chargent …bien souvent maladroitement tant ils ne maîtrisent pas leur
sujet. Je n’ai jamais entendu de réaction, bonne ou mauvaise, de Sonia
Mabrouk…Elle est ainsi !
M. Mohammad Marwan, fait
peur à tous alors qu’il est totalement inoffensif. En raison d’un titre aussi
renflant que le sien, un membre de son staff a été exclu du mouvement En Marche qui
estime qu’une telle appartenance n’était pas compatible avec les valeurs du
futur nouveau Parti ! C’est excessif
et contraire à l’esprit Macron. M. Mohammad Marwan prétend défendre
l’islam et donc lutter contre l’islamophobie. Il n’en est rien. J’avais pris contact
avec lui et je n’eus pour réponse que l’expression de son mépris …C'est cela un musulman ?
Lydia Guirous est arrivés en
France à l’âge de 5 ou 6 ans avec un bagage culturel français, selon ses
déclarations, limité. Cependant, elle a mené un parcours universitaire des plus
honorables : un master en sciences économiques et financières ! Son
parcours politique est à peine
croyable : à 30 ans elle devient porte- parole des républicains, un parti
que tenait de mains de maître un certain Nicolas Sarkozy ! C’est un exploit,
il faut le reconnaître et lui tirer le chapeau ! Cependant Mme Lydia
Guirous, n’avait jusque–là montré aucune compétence particulière. Partout où
elle passait, elle se faisait ridiculiser tant elle était à côté de ses
sujets. Regardez-ici à l’occasion d’une conférence de presse le 10 janvier 2016 ...
ou à l'émission "on n'est pas couché" du 9 janvier 2016.
Pour elle, les jours passent et se ressemblent !
Ainsi sous vos yeux s’exprime le
monde de Mickey qui se fera balayer moins de 2 ans plus tard. Mme Lydia
Guirous, venait de publier (En 2014) un
livre qu’elle intitulait « Allah est grand, la République aussi ».
Les décideurs de la droite le considérèrent comme un prix Nobel et lui
ouvrirent les portes du merveilleux monde de la politique. La République était certes grande mais aujourd’hui, elle ne l’est plus, à force d’entendre les
inepties que profèrent Mme Lydia Guirous et ses admirateurs. Le ridicule ne
tue pas et c’est pourquoi Mme Lydia Guirous comme les dirigeants de
l’ex Ump, s’en étaient gavés. Ces derniers connaissaient ses limites et
n’auraient jamais dû l’envoyer dans l’arène d’un monde si cruel.
Aujourd’hui, Mme Lydia Guirous
tire à boulets rouges sur tout ce qui lui ressemble. Un chèche, une gandoura,
une djellaba lui inspirent l’horreur
alors que dans sa propre famille, on doit bien en porter notamment par les
proches qui sont toujours au bled. Pour
elle, les envahisseurs sont ici, partout, elle a déjà oublié d’où elle vient.
On ne peut être utile à la République
que quand on est bien dans ses baskets,
apparemment celles de Madame Lydia Guirous sont tapissés de peaux de
figues de barbarie.
La République est grande, c’est
vrai, avec ses millions d’exclus, ses millions de chômeurs, ses millions d’illettrés,
ses millions de pauvres, ses millions d’injustices et sa justice raciste. Ne
pas être capable de le voir et de le dire, avilie les louanges que vous pourriez faire à
son endroit.
C’était le plateau de Thierry Ardisson,
le maître des montages des meilleurs spectacles de marionnettes. Sonia Mabrouk joignant le geste à la parole,
exprima sa détestation à Lydia Guirous qui lui quémandait un peu d’amour en lui
lançant de petits bisous en gage d’une possible alliance. Et toutes les deux se
chiffonnent pour le titre de meilleure française oubliant que la République est
suffisamment grande pour pouvoir accueillir en son sein des saints et des
salauds.
Toutes les deux sont cependant d’accord
pour pointer du doigt M. Mohammad Marwan qui prétend lutter contre l’islamophobie
en exhibant des images ou des témoignages certes répréhensibles mais qui, en
aucun cas, ne peuvent représenter le grand chantier de la lutte contre les
discriminations. M. Mohammad Marwan et ses amis n’ont pas le courage de
dénoncer les actes graves d’islamophobie, comme le racisme d’un magistrat...Je m'en souviens encore, M. Mohammad Marwan, vous avez été bien malmené par ses deux femmes !
lundi 22 mai 2017
Monsieur Mathias Fekl, a été ministre de l'intérieur
Monsieur Mathias Fekl a été installé en qualité de Ministre de l'intérieur le 27 mars 2017...
Il est parti depuis une semaine, avec le changement de gouvernement ...
Il ne m'a pas répondu mais il continuera de parler de valeurs de la République, de fraternité et de je ne sais quoi encore ...de beaux discours , quoi ? Il était la hiérarchie de la gendarmerie et savoir que celle-ci viole la loi ne semblait pas lui avoir posé le moindre problème de conscience...
Alors Monsieur Fekl ! Vous n' avez pas entendu parler d'un certain Emile Zola...
lui avait le sens de l'engagement républicain.
M. Rabah Bouguerra
21 avenue Julien Bailly
46100 Figeac
Tél. 0565347192 ou 0679652322
E-mail. h.r.bouguerra@gmail.com
Figeac, le 11 avril 2017.
Monsieur Mathias Fekl
Ministre de l’intérieur
Place Beauvau
75008 Paris.
Objet :
je sollicite votre intervention.
Références :
Ma lettre du
24 juin 2016. (Lrar)
Ma
lettre du 10 août 2016.
Ma
lettre du 10 septembre 2016
Ma lettre du
27 octobre 2017.
Ma lettre du
27 février 2017.
Monsieur Le Ministre,
Vos prédécesseurs n’ont pas jugé nécessaire de me répondre
malgré la gravité des accusations que je porte contre les
institutions de la République.
-
Un magistrat a pris à mon égard une décision
discriminatoire à caractère. Naturellement les preuves sont là.
Monsieur le Ministre, je n’ai
commis ni crime, ni délit mais cette horrible décision a permis ma
spoliation !
-
Ceux qui m’ont spolié ont détourné 200 000 €. Il
ne se passe rien malgré la plainte et les enquêtes !
-
Pire encore, la Gendarmerie a exercé sur ma personne
des pressions pour que je considère cette plainte comme ayant donné lieu à un
classement sans suite alors qu’il n’en est rien
Monsieur le Ministre, je vous
prie de découvrir l’état de ce dossier qui vous éclairera sur les maux qui
secouent la République.
Seule la mort peut me conduire à
renoncer à mes droits.
Je demeure à votre entière
disposition.
Je
vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à l’expression de mon parfond
respect.
Rabah Bouguerra
lundi 8 mai 2017
8 Mai 1945
Comme des millions de citoyens de ce monde, je suis la commémoration du 8 mai. Depuis les premières heures de la journée, les chaînes remuent les mémoires et rappellent à juste titre la victoire sur le nazisme ...Quand le chant des partisans fut entonné, j'eus la conviction qu'il aurait pu se déployer dans les gorges des défenseurs algériens de la liberté et de la dignité...
On appelle les mémoires en oubliant celle de Sétif, Fermatou Kherrata, Guelma ...
Ce jour-là de 1945, 20 000 algériens dit la presse mais à la vérité au moins le double, furent tirés comme des lapins, assassinés par le pouvoir colonial qui avait même armé les civils pour les besoins de la sinistre besogne ...
Ami, ton cœur est-il trop petit pour pour ne pas faire une petite place à ceux qui ont été assassinés en ton nom? N'oublie pas qu'ils se sont battus pour libérer la France et qu'ils voulaient avec les français fêter la victoire... Sans eux, tu parlerais aujourd'hui la langue unique de ce monde l'allemand !
Alors, je te prie d'avoir une pensée pour l'Algérie et son martyre.
lundi 24 avril 2017
Marwan Muhammad, Directeur exécutif du Ccif (Collectif contre l'islamophobie en France)
Dans ma précédente
publication, je réagissais à l’émission, Salut les terriens, du 8 avril
dernier qui avait réuni notamment Madame Sonia Mabrouk, journaliste
franco-tunisienne…et Monsieur Marwan Muhammad, franco-égyptien, Directeur
exécutif du collectif contre l’islamophobie en France … Dans une « Battle
des idées » ou plutôt d’absence d’idées dont Thierry Ardisson maîtrise excellemment
les ressorts de la mise à feu, Madame Sonia Mabrouk s’en prit au Directeur
exécutif du Ccif, sans retenue aucune… Le clash fut rapporté par la plupart des
médias, pour des galeries qui n’attendaient que la mise à mort.
Je fus moi-même pris à
partie pour mon article par des
personnages qui se parent des valeurs de la république alors que la haine qui
les habite ne connaît aucune censure pour s’exprimer … souvent sous le masque
de l’anonymat ! Quel courage ! En retour, chacun en avait pris pour son investissement. Beaucoup s’étaient
retirés silencieusement …
Je disais précédemment que
je serais heureux si le Collectif que dirige Monsieur Marwan Muhammad pouvait
m’aider… ne serait-ce qu’en prononçant
un mot en ma faveur. Je rappelle que je n’ai commis ni crime ni délit …mais que
j’ai été spolié avec la complicité des services de l’état et de la justice.
Outre les twits que j’ai
adressés aux protagonistes de l’émission, je pris attache avec Monsieur Marwan
Muhammad, à travers sa page Facebook. Il
a fallu plusieurs relances pour que la modératrice (On dirait un titre de Guy Des Cars) me réplique sèchement : on ne répond pas
à la minute me signifia–t-elle, même si
celle-ci a duré près d’une semaine. En outre, une modératrice sur un compte
personnel, ça interpelle.
Je m’interroge encore à
propos de l’attitude de Monsieur Marwan Muhammad qui affiche à mon égard un mépris qui
rien à envier à celui de ceux qui se réjouissent de ma spoliation. Ne suis-je pas
de son rang ? Est-il d’un statut trop élevé pour le mortel que je
suis ?
Monsieur Marwan
Muhammad dirige un collectif contre l’islamophobie. Du moins c’est ainsi qu’il
est publiquement présenté et moi, naïvement, je pensais qu’il se rangerait sans
hésitation aucune du côté de l’opprimé. Non ! Pourquoi ? Il a
peur ? De quoi ? C’est vrai,
j’’accuse publiquement un haut magistrat d’avoir pris à mon égard une décision
raciste. Mais les preuves sont disponibles et elles sont accablantes. Et ce
magistrat se tait… Probablement, ce journaliste de Lci ne voudra jamais
l’évoquer ! Monsieur Marwan Muhammad a, sans doute, peur de s’attirer plus
d’ennuis encore en me manifestant sa solidarité.
Finalement, on ne relate que les clashs ! Monsieur Valls contre le salafisme ? Monsieur Valls lui-même avait qualifié certains territoires de ghettos, soulignant ainsi des politiques inadaptées. Alors, on s'étonne ? Vous remarquerez que le journaliste de Lci n'a aucun argument sérieux à avancer...
Nul ne peut vous contester
votre qualité de musulman, Monsieur Marwan Muhammad, mais pensez-vous vraiment que votre attitude à mon
égard soit conforme aux préceptes de l’islam ?
Alors même que vous ne
menez aucune action illégale ou même répréhensible, j’observe un acharnement
répugnant sur votre personne. A l’occasion du débat auquel vous avez participé
sur Lci, le journaliste vous reproche d’avoir partagé des repas et ce
faisant, rencontré des personnes peu « fréquentables ». Une telle
affirmation ne peut que discréditer un professionnel de l’information…
J’ai beau chercher, je ne trouve pas vos actions contre
l’islamophobie alors que la fachosphère
réclame votre expulsion (Oé la
droite extrême ! on ne peut pas expulser un citoyen ! ) et la
dissolution du Ccif (Sans aucun motif ? au pays des droits de
l’homme ?)
Sur Europe 1, Monsieur Marwan Mohamed défend ses idées... Et vous croyez que Monsieur Mohamed Sifaoui dira un mot en ma faveur ?
Monsieur Marwan Muhammad,
je vous exprime ici ma solidarité et
vous ?
Madame Sonia Mabrouk vous
a accusé de travailler pour votre crèmerie… Franchement, je suis près de lui
donner raison. En effet, sur votre page
Facebook, on ne trouve que la promotion de votre livre : Nous (aussi)
sommes la nation, Pourquoi il faut lutter contre l’islamophobie, édition la découverte et vos participations à
des conférences européennes dont je peux qu’imaginer les beaux discours … Je n’exonère pas pour autant Madame Sonia
Mabrouk de la responsabilité qui est la sienne, celle d’un journaliste engagé.
Les musulmans ne demandent
aucun privilège mais exigent que les lois de la république les protègent comme
elles sont censées protéger tous les citoyens. Interrogez-vous ! Comment
un magistrat peut-il prendre une décision raciste en toute impunité ? Et
juste pour concrétiser la spoliation d’un citoyen.
Alors à quoi sert ce Ccif ?
mercredi 12 avril 2017
Sonia Mabrouk, journaliste
Salut les terriens !
Sonia Mabrouk, journaliste
franco-tunisienne, Europe 1 – Lcp-Public
Sénat…Je veux dire qu’elle n’a pas besoin d’être présentée. Elle était l’autre
soir, samedi 8 avril 2017 à 19h l’invitée
de « Salut les terriens » de Thierry Ardisson sur C8.
Et Thierry Ardisson ne
fait pas les choses à moitié : il avait réuni, en outre, autour de son bureau :
- - Lydia
Guirous qui se présente comme essayiste mais je n’ai pas entendu
franco-algérienne. Elle a été porte-parole de l’Ump puis des Républicains.
- - Marwan
Muhammad, ingénieur statisticien, militant associatif franco-égyptien et
actuellement directeur exécutif du
Collectif contre l’islamophobie en France (Ccif).
En somme, toute la Méditerranée réunie dans un studio !
Près d’une semaine après
cette émission, la fièvre du samedi soir n’est toujours pas tombée !
Journaux, télés, commentateurs connus ou inconnus, florilèges de pseudonymes
saluent la performance de Madame Sonia Mabrouk. « Elle a cloué le bec à
Marwan Muhammad » pouvait-on lire ici ou là. Bravo Madame ! l’Islam des lumières dont vous vous
revendiquez, a pris sérieux coup.
L’islamophobie n’est pas une fiction.
Vous reprochez à M. Marwan
Muhammad de défendre les musulmans victimes d’actes d’islamophobie, en réalité
il y a un cumul de discrimination et de racisme qui pèse plus encore sur ceux
qu’on identifie, à tort où à raison, comme musulmans.
Et vous rajoutez :
« Pour réussir, les musulmans n’ont pas besoin de vous. Comme moi et
beaucoup d’autres…ils savent ce qu’il faut faire. Comme vous ? Dites-vous
…en oubliant M. Jean-Pierre El Kabache. Bien sûr, vous n’avez réussi que grâce
à vos talents … et au petit coup de pouce sans lequel, vous seriez toujours
journaliste… à « Jeune Afrique » ou ailleurs !
Et vous y alliez avec les
notions qu’on vous a inculquées, victimaire, victimisation, que j’ai reçues en pleine gueule comme autant
d’innommables insultes. Honte à vous !
Ce que nous apportons à la France.
J’ai sans doute beaucoup
plus de titres universitaires que vous avec une expérience de niveau
international et j’ai dû fuir mon (beau)
pays natal, non pas pour moi mais pour
sauver la vie mon épouse (Médecin spécialiste, parisienne de naissance que je
préfère à française de souche). Avec quelques mois en plus et je l’aurais
renvoyée à ses parents dans une boîte en sapin ! Vous n’ignorez sans doute
pas la haine que les islamistes ont envers ceux qui essaient de soulager
autrui. Et si l’auteur de soins ou d’actes de générosité est identifié comme
chrétien, la mort est l’acte par lequel ils estiment préserver le monopole
divin dont ils s’estiment être les uniques dépositaires. A propos
d’identification, pour eux, Pierre et Paul sont forcément chrétiens comme ici,
Rachid et Rabah sont évidemment musulmans.
A peine de retour en France, en 1992, j’ai monté et financé un organisme de formation
appelé ADC (association pour le développement des compétences). Je ne voulais
même pas m’inscrire comme demandeur d’emploi. En 2 ou 3 ans, il était devenu le
centre universitaire le plus petit au monde, comme je me plaisais à le
présenter : Diplôme de l’éducation nationale, diplômes de l’Université de
Cambridge, Diplôme d’accès aux études universitaires (Daeu)… Avec mon équipe,
j’apportais aux citoyens, essentiellement un public en voie d’insertion,
diplômes, emplois, dignité et fierté de réussir un projet ambitieux…
Voilà ce que j’ai apporté
à la France : un bilan colossal…
Une justice raciste.
Mais voilà, un jour un
individu décida de s’emparer de
l’organisme de formation et il y parvint avec la complicité des services de
l’Etat et de la justice… Cela s’appelle une spoliation, digne des pages sombres
de l’histoire de France. Et pour la concrétiser un magistrat, Madame Françoise
Martres, (Saisissez ce nom sur votre moteur de rechercher et vous allez vous
régaler) a pris à mon égard une décision discriminatoire à caractère raciste.
Si je l’affirme publiquement c’est les preuves sont là et elles sont
accablantes… Pour que ce dossier soit à
nouveau examiné il faut que Madame Martres engage une procédure à mon encontre.
Elle ne le fait pas et pour cause …
La question que vous vous
posez est sans doute : qu’est devenu ADC ? Après avoir vidé ses
comptes et dilapidé des fonds publics pour une hypothétique mesure de
redressement, ADC a fait l’objet d’une mesure de liquidation judiciaire. Vous
en aviez entendu parler ? Certainement pas. Cependant comme beaucoup de
français vous avez sans doute été émus par la destruction de quelques écoles
par des talibans dans le lointain Afghanistan.
On a profité honteusement
de ma situation « d’étranger » pour me dépouiller. Pas un responsable
de ce pays, musulman, juif, chrétien, bouddhiste ou athée n’a levé le petit
doigt pour moi. La France a eu Emile Zola …puis plus rien.
Sans justice, pas de démocratie.
C’est ce que disait Saint
Augustin, ce berbère de chez nous. Mais vous, Madame Sonia Mabrouk, vous
appelez l’injustice la victimisation, autrement dit vous nous invitez à nous
taire. Je vous livre là le centième d’un livre qui vous raconte à chaque page
les violations des lois de la république. Vous avez sans doute connu quelque
chose de similaire sous Ben Ali mais ici c’est le pays des droits de l’homme …
des valeurs dont vous parlez tous les jours.
Alors Madame Sonia
Mabrouk, vous parlerez de moi ? Vous m’inviterez à une de vos
émissions ? Je ne crois pas que
vous le feriez car malgré votre notoriété vous prenez un énorme risque à dire
la vérité. Vous pouvez aussi parler de moi à Monsieur Jean –Pierre El Kabache
c’est l’un des rares journalistes à qui je ne me suis pas adressé …
Voyez-vous, si Marwan Muhammad que j’ai connu à l’occasion
cette émission pouvait m’aider, j’en serais heureux…
Vous l’avez bien
compris : je n’ai commis ni crime ni délit.
mardi 14 février 2017
La mise au point.
Voici la mise au point que j'ai adressée à la Gendarmerie. Il est question, entre autres, d'une réponse que m'a envoyée l'Iggn (l'inspection générale de la Gendarmerie nationale), signée par un Général de corps d'armée... qui fait référence à un document qui n'existe pas !
Cette mise au point a été adressée aux plus hautes autorités de cette grande démocratie qui observent le même silence
Mon colonel, vous devez m'en vouloir d'hurler ma douleur ? Alors que l'auteur de cette catastrophe républicaine , c'est Monsieur Exiga Jean-Claude... Lui doit savoir où sont passés les 200 000 €, des économies , le fruit d'un dur labeur !
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Rabah Bouguerra
21, avenue Julien Bailly
46100 Figeac
Tél. 0565347192 ou 0679652322
E-mail. h.r.bouguerra@gmail.com
Figeac, le 20 octobre 2016.
Colonel Pascal Palayer
Groupement de gendarmerie du Lot
26 avenue Jean Lurçat
Bp 259
46005 Cahors Cedex
Objet :
votre lettre du 07.10.2016
Référence :
37077 ggd46
Monsieur,
Je
suis un peu surpris que Monsieur le ministère de l’intérieur, saisi par mes
soins, vous charge de répondre à une requête par laquelle je mets
en cause la gendarmerie. Cela signifie que dans cette grande démocratie, le
citoyen lésé dans ces droits n’a aucun recours. J’en prends note et je poursuis
mon combat pour la vérité et la justice.
Certes,
j’affirme que l’action d’annonce du classement sans suite de ma plainte par
l’enquêtrice, est illégale mais aussi
que cette qualification est reconnue par l’enquêtrice elle-même qui m’avait
aussi déclaré qu’elle avait reçu l’ordre de le faire.
Votre
réponse susvisée, occulte cette importante précision tout comme le courrier de
l’Iggn n° 383 du 3 février 2014. Une
question reste posée : qui lui a donné l’ordre de le faire ?
Plus
grave encore, à mes yeux, l’Iggn, pour justifier sa position, cite la
décision du 10 juillet 2013, or
cette décision n’existe pas.
Aujourd’hui
encore, je m’interroge : comment un général d’armée a-t-il pu signer une
telle correspondance ? Et mon interrogation est d’autant plus forte que
mes appels n’eurent aucun écho.
Il
existe une façon simple de me faire admettre cet état de fait, c’est de me
remettre une copie de cette décision qui ne concerne que ma personne.
Je
vous signale également qu’il y a erreur sur la date de dépôt de la plainte,
elle est du 30 janvier et non du 30 décembre 2012.
A
propos de cette décision de classement sans suite vous me renvoyez vers le
parquet qui en son temps, m’avait délivré un document –dont vous disposez d’une
copie - qui contredit la version de la gendarmerie. Pour le parquet, l’enquête
était encore en cours. Et, à ce jour, aucune décision n’a été prise.
Sur
ce point bien précis, vous trouverez dans mes échanges avec le groupement de
gendarmerie tous les éléments qui vous permettent de mieux apprécier cette
situation.
D’ailleurs,
il aurait suffi que l’enquêtrice s’abstienne d’exercer des pressions sur ma
personne et jamais ce différend avec la gendarmerie n’aurait existé.
Je
me dois de vous préciser que je n’ai pas demandé d’enquête interne à la
gendarmerie. Comme vous le dites avec courtoisie, les conclusions internes propres
à une institution quelle qu’elle soit ne me regardent pas. J’ai saisi les
différents niveaux hiérarchiques de la gendarmerie qui m’avaient donné parfois des
réponses que je suis en droit de contester.
1/5
Le
constat est établi : la gendarmerie a bien manqué à son devoir
d’impartialité.
Par
contre, j’ai sollicité la mise en place d’une commission d’enquête car les
faits sont graves et non reconnus. Une commission d’enquête est une initiative
démocratique,
citoyenne et qui plus est constitutionnelle. Elle peut-être
parlementaire. Ceci dit, à observer la
façon dont ma requête est traitée, il ne se passera rien…
Dans
ce lourd dossier, où l’injustice se mesure au nombre de violations du droit
dont je suis victime, Madame Françoise Martres
(Je pense qu’il est inutile de vous la présenter) a pris à mon égard une
décision discriminatoire dont le
caractère raciste est clairement établi. Il suffit de comparer les arrêts pris
par ses soins : celui de mon ancien collaborateur, Eric Maynadier et le
mien.
C’est
tout simplement inouï : ce magistrat a, entre autre, classé mon ancien collaborateur à un niveau
hiérarchique supérieur au mien, moi qui étais son directeur, alors que
rien, absolument rien, ne permet de
justifier une telle décision. A ma connaissance, cette situation n’a pas de
précédent.
J’ai
déposé plainte contre Madame Françoise Martres auprès du CSM (Conseil supérieur
de la magistrature) qui me fit une réponse qui prêterait à rire si elle ne concernait
pas un drame douloureux. Pour rejeter ma requête, le CSM affirme que je n’ai
pas cité nommément le magistrat visé, ce qui est absolument faux. A aucun moment, le CSM n’a contesté mon accusation de racisme
à l’encontre de ce magistrat, une accusation grave que couvre un lourd silence…
Si
vous me confirmez qu’il est possible de déposer plainte auprès de vos services
contre ce magistrat, je le ferai, sans hésitation aucune. Est-il besoin de vous
préciser que cette accusation de racisme, je ne l’ai jamais portée contre les
services de la gendarmerie.
Vous
connaissez sans doute ce lourd dossier
et je saisis cette occasion, pour vous en retracer les principaux
moments :
-
ADC
(l’association pour le développement des compétences) l’organisme de
formation au cœur du litige, est ma création en 1992 et son financement a
été assuré par mes soins (Avec une participation égale de mon ancien
collaborateur). Ce fait n’a jamais été
contesté par qui que se soit. En dernier ressort, je considère que j’ai été
spolié …
-
Comme vous, je servais la République, j’apportais à la
population : diplômes, emplois, dignité et citoyenneté …D’ailleurs, les
responsables de la brigade de gendarmerie de Saint-Céré pourront vous le
confirmer. Je les invitais régulièrement à venir parler de leurs missions et
souvent, ils dirigeaient vers mes services, les situations sociales délicates
pour lesquelles une formation ou un accompagnement pourrait être bénéfique…
-
Qui est
l’adversaire ? Il s’agit d’un certain M. Exiga Jean-Claude, éducateur de
son état, agent territorial et ses deux complices : Mme Martignac Monique,
modeste femme politique de l’ex Ump et M. Couchouron Yves, professeur de collège à la retraite,
adhérent à la section locale du Ps.
Après ces présentations je ne parlerai que de M. Exiga Jean-Claude…
Mes actions
devant la justice… et les services de l’état.
-
M. Exiga a usé de
moyens frauduleux pour me licencier de mon propre outil de travail, j’y
reviendrai à propos des plaintes déposées contre lui.
-
La préfecture du
Lot a mis plus de 3 ans pour me permettre l’accès au dossier alors que je suis
une partie concernée tel que le définit la loi du 1er juillet
1901…et encore avec l’intervention de la CADA… C’est le temps qu’il a fallu à
M. Exiga Jean-Claude pour vider les comptes du centre de formation ADC.
2/5
-
Devant le Conseil
de prud’hommes, M. Blanchon Gérard, un conseiller, un ami de mes adversaires…a
siégé et délibéré comme si de rien n’était. Il m’a fallu des démarches, avant
que le procureur général, ne me dise qu’il n’y a rien à faire !
-
Devant la cour
d’appel, j’ai été renvoyé comme un malpropre et je ne pouvais rien dire…mais
voilà que cette même cour d’appel prit, quelques mois plus tard, un arrêt au
profit de mon ancien collaborateur…Celui-ci,
sur 2 points comparables, a bénéficié d’une classification et d’une
indemnisation sans commune mesure avec la mienne…Imaginez qu’on décide un jour
de classer un gendarme au dessus d’un officier supérieur ! L’analyse
comparative des 2 arrêts montre clairement
que Mme Martres Françoise a pris à mon égard une décision
discriminatoire dont le caractère raciste est clairement établi.
-
Mes actions
auprès du CSM comme auprès de Mme La ministre de la justice (Qui pouvait légalement
intervenir auprès du CSM) n’avaient pas abouti. Mme la ministre n’avait même
pas répondu et le CSM me fit une réponse qui exprime à elle seule le grand
drame de la justice.
-
Devant la cour de
cassation, mon avocate, malgré ses
engagements, n’avait pas remis le moyen
nouveau né de la comparaison des 2 arrêts et mon pourvoi fut rejeté. Mon
avocate ne donne aucune explication.
-
J’ai engagé une
action pour la mise en œuvre de la responsabilité civile de l’avocat (En
principe une procédure banale pour tous les professionnels) auprès du conseil
de l’ordre des avocats aux conseils. Tous les avocats, y compris celui
commis par la présidente de l’ordre me
réclame des honoraires allant de 3600 à 3800 €, en se réservant le privilège de
me « défendre » comme ils l’entendent… oubliant l’intérêt du client,
au cœur du code de déontologie de la profession.
-
Aucun avocat, ne
semble disposé à dire la vérité (Et pourtant, ils réclament des honoraires
conséquents). La Présidente de l’ordre et le Premier Président de la cour de
cassation sont saisis…
Les plaintes déposées contre M. Exiga
Jean-Claude :
Dès la naissance du conflit, j’ai déposé 4 plaintes
contre M. Exiga Jean-Claude.
- Plainte du 2
octobre 2008- Dénonçant la situation d’illégalité de M. Exiga au sein de
l’association ADC. Résultat : classement sans suite, malgré les faits. M.
Exiga était hors-la-loi.
- Plainte du 22 décembre 2010 : usage d’un faux témoignage - de la secrétaire -et diffamation. Résultat : classement sans suite.
- Plainte du 22 décembre 2010 : usage d’un faux témoignage - de la secrétaire -et diffamation. Résultat : classement sans suite.
- Plainte du 22
février 2011, usage d’un faux et
extorsion de témoignage. Résultat : classement sans suite du 19 février 2014, soit plus de 3
ans plus tard ! Et les preuves sont indiscutables !
Cette décision est intervenue 9 mois après son annonce
par la gendarmerie !!
L’extorsion de témoignage est clairement établie…et la
gendarmerie ne semble n’avoir rien vu !
- Plainte du 30
janvier 2012 pour prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux, suite à la
disparition de la somme de 200 000 €
A ce jour, aucune décision n’a été prise …et pourtant
la gendarmerie m’a annoncé le classement sans suite !!
Tout semble indiquer que M. Exiga Jean-Claude est dessus
des lois de la république. Il faut lire le deal qu’il met entre les mains de
mon ancien collaborateur, pour comprendre le désastre.
Pire encore, M. Exiga avait menti en déclarant que la
gendarmerie était intervenue à l’occasion du conflit….Naturellement le conseil
de prud’hommes l’avait retenu à ma charge. Souvenez –vous, c’est son ami M.
Blanchon Gérard qui menait les débats…La gendarmerie refusa de m’établir une
attestation démentant le fait allégué et me renvoya vers le procureur qui, à
son tour, me fit une réponse négative.
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Ainsi les deux institutions ont couvert des mensonges
qui ont conduit à ma spoliation. Et vous voulez que les citoyens
témoignent de faits délictueux … alors
que la gendarmerie s’abstient de dire la vérité ?
Monsieur Exiga Jean-Claude …et l’institution judiciaire.
Monsieur Exiga Jean-Claude …et l’institution judiciaire.
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Fin 2011, alors
que la cour d’appel d’Agen venait de le condamner lourdement pour le
licenciement abusif mon ancien collaborateur, M. Maynadier Eric et violation du
droit du travail, M. Exiga Jean-Claude qui avait déjà mis l’organisme de
formation ADC en cessation de paiement, dépose le bilan. Ainsi l’indemnisation
de mon ancien collaborateur, 130 000 € (environ) avec les charges, est
supportée par le FNGS, en somme le contribuable. Ce qui est une sanction de la
cour d’appel devient une prime à la casse !
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Alors que de
nombreuses entreprises dans une situation économique comparable et la sanction
judiciaire en moins, étaient directement
mises en liquidation, M. Exiga Jean-Claude obtenait une mesure de
redressement, ce qui signifie qu’il
n’aura plus à se préoccuper des créances. C’est une autre prime dont il vient
de bénéficier…Ainsi, le TGI de Cahors
réduit à néant une juste sanction de la cour d’appel d’Agen !
-
Comment le TGI
a-t-il pu lui accorder cette mesure ? Rien ne permet de faire un tel pari
sur l’avenir sauf à croire à un miracle.
Non seulement M. Exiga Jean-Claude n’a pas les compétences pour diriger un
établissement de formation, il n’a même pas le baccalauréat ! mais aussi, il venait de contester la présence de
200 000 € sur les comptes de l’organisme de formation ADC ;
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A partir de ce
constat, je déposais plainte contre M. Exiga Jean-Claude et ses deux complices
pour prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux. Où sont passés les
200 000 € ? C’est sur cette plainte que la gendarmerie vient
m’annoncer le classement sans suite que le procureur de la République n’a
toujours pas décidé.
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Deux ans plus
tard, en avril 2014, la cessation de
paiement devenait insupportable et le TGI prononçait la liquidation judiciaire.
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Au même moment,
M. Exiga Jean-Claude annonçait par voie de presse la nomination de Mme Louf en
qualité de Directrice de l’établissement de formation ADC. Mme Louf venait tout
juste d’obtenir l’équivalent du baccalauréat, le DAEU ! C’est comme si on
vous annonçait qu’un élève terminale a été nommé proviseur ou qu’un jeune
gendarme était nommé commandant d’un groupement ! Il a non seulement abusé
la confiance du juge mais il l’a aussi humilié, publiquement. La France, le pays des lumières, est bafouée. Quelle impunité !
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Vous avez été
sans doute choqué, comme tous les français,
quand des talibans avaient détruit des écoles dans le lointain
Afghanistan. Ici, Nul ne s’inquiète de cette catastrophe, pas un homme ou une
femme politique n’a élevé la moindre protestation. Normal, ils sont amis avec
les auteurs de cette tragédie.
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ADC, c’étaient
les diplômes de l’Université de Cambridge, ADC c’est le Diplôme d’accès aux
études universitaires, ADC, c’était le conservatoire national des arts et
métiers (CNAM), ADC c’étaient les actions d’orientation et d’insertion, ADC
c’était l’accompagnement vers l’emploi…Tout ceci en milieu rural, aujourd’hui disparu comme pour punir une population à l’écart de tout. M. Exiga Jean-Claude
n’est même pas capable d’en parler.
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J’en conclus que
c’est M. Exiga Jean-Claude qui fait la
justice…A quoi a servi cette mesure de redressement que rien ne
justifiait ? Elle a coûté au bas mot un (1) million d’euros, voire le
double…pour rien.
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Si M. Exiga
Jean-Claude avait réalisé ne serait-ce qu’un geste pour la mise en place de cet
organisme de formation, on pourrait comprendre ses actes barbares, violant,
sans retenue aucune, les lois de la
république. Finalement, M Exiga Jean-Claude réalise un véritable braquage sous
le regard bienveillant de la justice.
4/5
M.
Exiga Jean-Claude bénéficie de privilèges que même le Président de la
République n’a pas. Pourquoi ?
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La république va
mal et elle ne sera guérie que par l’application stricte des valeurs qui la
fondent
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Pas un mot ne
peut être considéré comme diffamant, y compris la qualification de raciste concernant
la décision de Mme Françoise Martres .Toutes mes accusations reposent sur des
preuves irréfutables.
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Si vous avez
enquêté sur ma personne, vous aurez appris qu’au de-là des services que
j’apportais à la population au nom de la république, j’œuvrais pour
l’amélioration constante des relations entre la France et l’Algérie, mon pays
natale…et ce faisant, mes messages de fraternité, prenaient du sens et créaient
du lien.
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Je subis l’intégrisme
de l’ignorance, le terreau de l’intégrisme religieux aussi barbares que
violents… Il faut combattre l’un comme
l’autre.
Je
demande à toutes les autorités d’agir dans le respect des droits du citoyen que
je suis. Je le répète, je n’ai commis ni crime ni délit et j’ai été spolié avec
la complicité des services de l’état et de la justice. Je demande seulement à
être indemnisé en m’appliquant les règles de droit, comme ce fut le cas de mon
ancien collaborateur.
Je
suis à votre entière disposition.
En
attendant, je poursuis mon légitime combat de façon pacifique et démocratique…
mais si vous voulez, malgré tout, me faire taire, il faut m’abattre.
Je
vous prie de croire, Monsieur, à l’expression de ma sincère considération.
Rabah Bouguerra
Copies :
- - Monsieur
Jean-Jacques Urvoas, Ministre de la justice.
- - Monsieur Bernard
Cazeneuve, Ministre de l’intérieur.
- - Monsieur Le
Général d’Armée
Directeur Général de la gendarmerie Nationale
(Cabinet)
- - Monsieur Le
général commandant la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon et
Midi-Pyrénées, Commandant le groupement de gendarmerie de la Haute Garonne.
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