Rabah Bouguerra
21, avenue Julien Bailly
46100 Figeac
Tél. 0679652322
Email. h.r.bouguerra@gmail.com
Figeac, le 13 septembre 2021.
Monsieur Eric Dupond-Moretti
Ministre de la justice – Garde des sceaux
13, place Vendôme
75007 Paris.
Lettre recommandée avec avis
de réception.
Objet : demande de réparation des préjudices subis du fait de la responsabilité de l’Etat
et de ses services.
Monsieur Le Ministre,
Voilà un an, je sollicitais votre intervention en raison
des graves dysfonctionnements du service public de la justice. Depuis, rien n’a changé.
Au début, il y avait ces individus :
Mme
Martignac Monique.
M.
Couchouron Yves
Et à leur tête, un certain
M. Exiga Jean-Claude.
Ce monsieur n’avait qu’un objectif en tête : s’emparer, par tous les moyens, de l’organisme de formation Adc que j’ai créé, financé et développé.
Qui peut imaginer qu’un individu, au niveau de formation insignifiant, puisse diriger un centre universitaire, si petit soit-il ?
Une plainte pour « prise illégale d’intérêt et abus de bien sociaux » a été déposée et une enquête a été menée. Cependant, à ce jour, elle demeure sans suite. Le déni de justice est bien constitué.
Pourquoi cet individu n’a jamais été inquiété malgré toutes les plaintes déposées contre lui et ses 2 complices ?
Il était en relation de travail avec le Procureur de la République, Eric Seguin qui lui assurait l’impunité comme il l’assurait au conseiller prud’homal : M. Blanchon Gérard. Celui-ci avait participé pleinement au procès alors qu’il est l’ami de Mme Martignac Monique. A cette occasion, il s’était lâché comme on dit et vous devinez aisément le résultat final.
Le comble de l’injustice fut l’œuvre de Mme Martres Françoise, présidente de la chambre sociale de la cour d’Appel d’Agen, rendue célèbre par le « mur des cons » qui a appliqué le droit à la tête du client, provoquant une rupture d’égalité qui n’est qu’un doux euphémisme et en réalité une décision discriminatoire à caractère raciste … Cette tragédie ne semble perturber aucune institution de l’Etat.
Et que dire des avocats ? Ils agissent dans un système qui s’auto-protège : le drame de la République et des citoyens.
Monsieur Le Ministre, je sollicite votre intervention afin que je sois indemnisé au titre de la responsabilité de l’Etat. Ce faisant, vous sauverez l’honneur de la justice.
Dans l’attente de vous lire, je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à l’expression de ma considération distinguée.
Rabah Bouguerra
Le pays des droits de l'homme ?
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