lundi 8 mars 2021

Rapport de M. Benjamin Stora ....

 

Rabah Bouguerra

21, avenue Julien Bailly

46100 Figeac

Tél. 0679652322

Email. h.r.bouguerra@gmail.com

 

 

Figeac, le 15 février 2021.

 

Objet : rapport sur les questions mémorielles …

 

Monsieur Benjamin Stora.

Cher Monsieur,

 J’ai lu avec beaucoup d’intérêt et d’attention, votre rapport sur « les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d’Algérie » que vous venez de remettre à Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République.

 J’ai beaucoup appris de ce document qui parfois nomme des faits ou des situations de façon trop consensuelle. Aux amis, il faut dire la vérité, c’est la seule façon qui permet de progresser et de nouer de nouvelles et solides relations. « A mal nommer les choses, disait Albert Camus, on accroît les malheurs du monde. »

 J’ai relevé un fait historique inexact, probablement mineur mais dont l’interprétation  interroge et divise. Vous situez le début des « massacres » des harkis en juillet 1962, comme le fait votre collègue, Jean-Jacques Jordi dont les arrières pensées apparaissent clairement.  Jean-Jacques Jordi veut tout simplement exonérer la France de ses responsabilités. Ces « massacres » avaient commencé  quelques  semaines après le cessez-le-feu, du 19 mars 1962 comme l’avaient rapporté d’autres observateurs. Je pourrais vous mettre en relation avec un témoin qui à l’époque des faits avait une quinzaine d’années.

 Ce même témoin, m’a permis d’écrire l’introduction d’une fiction autour du parcours des harkis. « La forfaiture du corbeau » (aujourd’hui sans éditeur mais disponible sur certaines plateformes). Ce roman a été relativement bien accueilli tant par les ayants droit de harkis que par ceux que l’Algérie touche de près ou de loin. Il a obtenu le Prix du Lions de littérature 2013, pour la région  Provence- Alpes - Côte d’Azur et Corse. Il a été salué par la presse locale mais aussi par Marianne, avec une belle critique de Martine Gozlan, l’éminente spécialiste des questions arabes et maghrébines ainsi que par Courrier international à l’occasion des 50 ans de l’indépendance de l’Algérie. Si vous le souhaitez je me ferais un plaisir de vous l’envoyer.

 Si le camp de Saint Maurice l’ardoise avait préalablement « accueilli » les militants de l’indépendance de l’Algérie  pour devenir un lieu d’enfermement des harkis et leurs familles, il en a été de même pour celui du Larzac, précisément à La Cavalerie. 

La mémoire aura du mal à être partagée tant certains mots éloignent, aujourd’hui encore,  les deux rives de la Méditerranée. Ainsi, on peut  lire dans votre rapport, à propos de cette exposition en Bretagne qui présente « un couteau ramassé sur le corps d’un fellagha, sans guillemets ni renvoi  (p.73). Fellagha (pluriel de fellag,  était un petit métier de service qui consiste à « exploser » (arabe algérien) des bûches de bois, aujourd’hui, en France,  on dit tout simplement, couper le bois)  est un terme péjoratif pour nommer les résistants de la cause algérienne. Si on tient  compte de sa mauvaise orthographie, le h n’a pas lieu d’y être, donnant un son totalement différent. Ce mot n’a pas sa place dans un dialogue de réconciliation.

 La place de l’histoire et plus particulièrement celle de la colonisation est liée à celle de l’éducation dont vous recommandez l’amélioration et le développement comme le fait Jean Louis Roy. Or les gouvernements successifs ont laissé le système éducatif partir à la dérive. Pendant des décennies, 160 000 jeunes quittaient,  annuellement, les dispositifs éducatifs en situation d’échec. Ces jeunes qui se concentrent, essentiellement, dans les grandes banlieues, sont d’origine africaine et maghrébine. Ils sont en première lignes et de fait, les victimes, dans ce que beaucoup appellent « les territoires perdus de la république ». 10 millions de français n’ont pas le bac et 3 millions sont dans une situation de détresse absolue au regard de la maîtrise de la langue française. Dans cette situation, il n’est guère possible d’imaginer un  avenir radieux.

Et pourtant, une vraie solution existe et qui donne des résultats prodigieux mais les responsables, à haut niveau,  n’en veulent pas. Cette petite clé qui ouvre de grandes portes a un nom : le diplôme d’accès aux études universitaires par abréviation le Daeu. C’est l’équivalent de plein droit du baccalauréat. Avec cette appellation, il existe depuis plus de 25 ans mais sous son appellation originelle, il a plus de 50 ans ! Je l’avais personnellement expérimenté pendant 12 ans, en partenariat avec l’université de Toulouse Jean Jaurès. Partant de cette expérience, il suffirait de mettre en place ce dispositif partout à travers le territoire national pour permettre à la république de retrouver la cohésion qui lui manque tant. Le coût d’un tel projet est vraiment dérisoire.  J’ai traduit cette expérience  en un livre : Le diplôme d’accès aux études universitaire (Daeu) : un ascenseur social ? Editions du bord du Lot, 2013, préfacé par le professeur Yves Lignon, un grand acteur de ce dispositif. Ce projet ferait passer le nombre de diplômés de 5 000 à 50 000 par an, avec une hypothèse basse. Si vous le souhaitez, je vous en adresserai un exemplaire.

 J’ai soumis ce projet à un premier ministre dont le cabinet m’a manifesté beaucoup d’enthousiasme. Hélas, celui-ci n’eut aucun effet sur les départements du ministère de l’éducation nationale qui l’enterrèrent rapidement. Mais comment peut-on bannir un projet éducatif qui ne peut qu’être bénéfique à la nation ? La raison est bien simple : je dénonce ma spoliation réalisée avec la complicité des services de l’état et de la justice. En effet, j’ai été spolié comme le furent les juifs au cours des pages sombres de l’histoire de France et ce fait bouleverse bien des secteurs de la société et leur renvoie des images douloureuses du passé. En m’éliminant de la scène publique, ils pensent rendre invisible une spoliation qui salit la République même. Ils ne se rendent même pas compte qu’ils croient me punir alors qu’en réalité ils punissent la France et les français.

Ma spoliation s’est produite en 2008… et elle dure encore. C’est dire l’ampleur de la tâche.

Si je vous expose l’intérêt du Daeu c’est pour souligner l’importance de la masse critique des exclus en espérant que leur nombre connaîtra une réelle décroissance. C’est la seule voie démocratique pour lutter contre l’islamisme et le séparatisme qui n’est que la conséquence du chaos dans lequel se trouve le système social et de sa composante principale : le système éducatif.

Je ne m’attarderai pas sur l’enseignement de l’histoire commune aux deux pays aux différents cycles de l’enseignement et dont vous soulignez l’importance. Cependant, il est aussi possible de mettre à jour la matière « histoire » dans le cadre du Daeu.  Cette matière, en l’état de la réglementation, est optionnelle. Ce statut peut être maintenu. De même et cela mérite d’être souligné, au titre des matières obligatoires, certains candidats choisissent la langue arabe. Au terme de mes 12 années d’expérience, je peux dire que la cohésion nationale s’affirmait au fil des ans comme l’épanouissement personnel qui se mettait au service de la société.

Ce même Daeu, peut être proposé aux descendants de harkis également frappés par l’échec scolaire. Ainsi, ils renoueront avec le succès et le sentiment  d’appartenance  à la collectivité nationale.                                                   

Imaginez un seul instant, que ce Daeu se mette en place en Algérie (Mais aussi en Tunisie, au Maroc et partout en Afrique) pour qu’il devienne  le trait d’union entre les nouvelles générations. (Aujourd’hui, des structures privées proposent le Daeu au Maroc mais à un prix qui exclut les classes défavorisées.). Avec une telle ambition, les gouvernements comme les citoyens, de part et d’autre de la Méditerranée, seraient les grands gagnants.

Vous avez aussi exprimé le vœu des harkis, au grand âge, d’être enterrés sur la terre de leurs ancêtres. Cette démarche vous honore. J’ai personnellement, recueilli ce souhait à l’occasion du travail exploratoire à l’écriture de mon roman. L’Algérie et les Algériens qui ont mûri, sauront ouvrir leurs cœurs à ceux qui n’ont jamais cessé de souffrir.

Enfin, je dois vous dire que beaucoup d’Algériens vivant en France, qui ont servi la République et le peuple français mieux que quiconque, et qui sont, aujourd’hui,  victimes d’injustices, comme si pour eux,  la période coloniale ne s’était jamais arrêtée, leur situation doit faire l’objet d’un examen attentif selon toute procédure et tout moyen que l’Etat jugera nécessaire à la réparation des préjudices subis.

Vous concluez votre rapport en citant  un certain nombre de structures essentiellement associatives qui œuvreraient en faveur de l’amélioration des relations entre la France et  l’Algérie. Il n’en est rien pour la majorité d’entre elles, pire encore,  elles en sont un facteur de détérioration. Les associer à une démarches de réconciliation des mémoires c’est vouer le projet à l’échec. Je ne cite que 2 exemples : Sos-Racisme au lourd passé passif et son Président, affichent  un mépris sans nom à l’égard des algériens qui les sollicitent,  de même « Le Maghreb du livre » malgré mon insistance, n’a jamais voulu m’accueillir pour « La forfaiture du corbeau »… pourtant au cœur de l’histoire commune. Si la raison principale est le fait que je ne fais pas partie du cercle des amis, alors quel crédit accorder à cette association ?

Si vous souhaitez m’accueillir en entretien pour approfondir un point ou un autre,  je m’y rendrai avec beaucoup de plaisir.

Je vous prie de croire, Cher Monsieur, à l’expression de mes sincères salutations.

Rabah Bouguerra

 

jeudi 3 septembre 2020

Monsieur Eric Dupond-Moretti, Ministre de la justice

 

Rabah Bouguerra

21 avenue Julien Bailly

46100 Figeac

 

Tél : 0679652322 Email : h.r.bouguerra@gmail.com

 

Figeac, le 23 juillet 2020

 

                                                                       Monsieur Eric Dupond-Moretti

Ministre de la justice, garde des sceaux.

13, place Vendôme

75007 Paris

Lettre recommandée avec avis de réception

 

Objet : requête.

 

Monsieur Le Ministre,

Connaissant votre attachement aux valeurs de la République et à sa justice,  vous me pardonnerez cette intrusion alors que vous venez juste  de prendre vos fonctions.

Je suis convaincu que vous n’accepterez jamais que la justice du pays des droits de l’homme porte plus longtemps encore l’infamante tare de racisme. En effet, un magistrat, Mme Martres Françoise, Présidente de la Chambre sociale de la Cour d’appel d’Agen a pris à mon égard une décision discriminatoire dont le caractère raciste est indiscutablement établi. (Arrêt du 18 janvier 2011)

 Elle a violé la loi, pour appliquer sa propre loi  et permettre ainsi ma spoliation, comme en ces temps douloureux qui avaient marqué le martyre de la France.

Dans les faits, il n’y a pas que le délit commis par Mme Françoise Martres. En effet, j’ai subi les méfaits d’une escroquerie en bande organisée à laquelle ont participé  toutes les représentations de l’Etat.

 Voici la liste qui compose cette bande que je vous présente par ordre d’apparition dans cette forfaiture qui marquera l’histoire de la justice en France :

 

1 - M. Exiga Jean-Claude, « éducateur » au sein du conseil départemental du Lot.


2 - Mme Martignac Monique, « élue locale ».


3 - M. Couchouron Yves, « élu local ».

          4 - M. Blanchon Gérard,  « Conseiller prud’homal, c’est surtout un « ami » de Mme Martignac Monique.                                                                          

                                                                                                                                                

               5 -  M. Seguin Eric, Procureur de la République, près le Tribunal de Cahors.

                6 - La Préfecture du Lot.

                7 - La Gendarmerie de Saint-Céré et de Figeac.

                8 - Mme Martres Françoise, magistrat, Présidente de la chambre sociale de la Cour d’appel d’Agen.

 A l’origine, trois individus qu’on qualifie généralement de « notables », avaient décidé par le biais d’une grande magouille de me mettre à la porte de l’organisme de formation  (adc – association pour le développement des compétences) que j’avais créé et financé. Nul ne conteste ce fait.

 Il s’agit de :

M. Exiga Jean-Claude, président de l’association.

Mme Martignac Monique, membre du conseil d’administration.

M. Couchouron Yves, membre du conseil d’administration.

Ces trois personnes  étaient en situation d’illégalité absolue, au regard de la gestion de l’association. Je mets au défi les intéressés comme les services de la justice, d’apporter la moindre preuve d’un démenti.

Le conseil d’administration se composait de 13 membres et ils sont trois à violer la loi avec la bénédiction des services de l’Etat et de la justice.

En effet, M. Exiga Jean-Claude et ses complices avaient usé de faux témoignage, extorqué  le plus important, en mettant le deal entre les mains de mon ancien collaborateur : « Témoigne contre M. Bouguerra et je réglerai ta situation financière ! » mais le Procureur de la République  n’y voit aucune infraction à la loi. Pire encore, une plainte a été déposée contre M. Exiga Jean-Claude et ses 2 complices : Mme Martignac et M. Couchouron Yves  pour « prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux. », suite à la « disparition » de la somme de 200 000 € des comptes de l’organisme adc. A ce jour, la plainte demeure dans les tiroirs du Tribunal de Cahors. Un déni de justice est bien constitué.

Ce ne sont pas les seuls privilèges dont bénéficiaient M. Exiga et ses complices qui, au surplus,  font la justice.

Il faut savoir que M. Exiga ne possède même le baccalauréat. Avec un niveau réel en deçà, qui peut croire que ce monsieur soit capable de diriger adc,  un centre universitaire, certes petit, mais néanmoins très efficace. Par quel miracle peut-il avoir autant d’influence sur des magistrats ?

                                                                                                                                                            

S’il n’y avait que cela …Je vous présenterai les autres privilèges qui vont conduire adc à la liquidation judiciaire. (Décision du 15 avril 2014 du Tgi de Cahors)

 Une première explication ce fiasco judiciaire : M. Exiga qui travaille dans le cadre de l’aide sociale à l’enfance est en contacts très fréquents avec le Procureur de la République. C’est cette relation professionnelle qui explique tous les privilèges dont bénéficient M. Exiga et ses complices…

 Le quatrième personnage de cette tragédie est M. Blanchon Gérard, « conseiller prud’homal »,  ami de mes adversaires du jour et surtout de Mme Martignac Monique, l’idéologue de ce groupe. M. Blanchon a siégé et délibéré en première instance comme si de rien n’était. Vous devinez le résultat. Il n’a pas été récusé, faute d’information sur sa participation et il ne  s’était pas auto-récusé. Les requêtes déposées pour sanctionner ce manquement grave au droit, ont été rejetées.

 M. Seguin Eric, Procureur de la République près le Tribunal de cahors a rejeté toutes les plaintes visant M. Exiga et ses complices : faux, usage de faux, extorsion de témoignage. Toutes les preuves soumises à la justice n’ont pas suffi à faire valoir le droit. Pire encore, la plainte pour « prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux » demeure sans réponse et constitue de ce fait un déni de justice.

M. Le Procureur de la République a couvert un faux, un grossier mensonge de M. Exiga qui a déclaré au Tribunal qu’il avait fait intervenir la gendarmerie pour me faire quitter mon bureau. Cette affirmation est mensongère mais la gendarmerie refusa de m’établir une attestation déclarant l’inexistence du fait allégué par M. Exiga, me renvoyant vers le Procureur de la République qui me signifia que « la gendarmerie n’avait pas à m’établir un tel document ». Ainsi la justice sait que j’ai été spolié sur la base d’un gros mensonge, couvert par un magistrat.

 M. Seguin Eric, a également protégé M. Blanchon, « Conseiller prud’homal, qui a commis une forfaiture en participant au procès. Le procureur de la République a rejeté mes requêtes. Et, quand par miracle, le Procureur général de la cour d’appel d’Agen, reçut ma plainte déposée devant le Csm (Conseil supérieur de la magistrature), il me déclara tout simplement « qu’il était trop tard » !

 Alors que la procédure a été abondamment trafiquée, ce que la justice reconnaît mais n’admet pas l’éventuelle réparation du préjudice que j’ai subi, une honteuse spoliation digne des pages sombres de l’histoire de France.

La Préfecture du Lot,  dans un premier temps, m’a refusé l’accès au dossier de l’association adc, au nom de la séparation des pouvoirs, pourtant la loi de 1901 est claire et me reconnaît la qualité de « partie prenante ». Ce n’est qu’au bout de 3 ans de démarches et saisine de la Cada (Commission d’accès aux documents administratifs) que la Préfecture du Lot reconnait que « la loi est favorable à ma démarche », et que ma demande aurait dû être satisfaite de droit. Cependant, il était déjà trop tard, M. Exiga vient de déposer le bilan de l’organisme suite à une cessation de paiement …et la disparition des 200 000 € !

 Nul ne demande à un Préfet de juger en lieu et place d’un magistrat. Cependant comme La préfecture a la responsabilité des dossiers des associations, elle aurait dû, conformément à la loi de 1901, établir un rapport qui aurait, sans doute, déclaré que M. Exiga et ses complices, en situation d’illégalité à l’égard de la gestion de l’association, ce qui est la stricte vérité. Un tel rapport, aurait sans doute déplu au magistrat, mais aurait sans doute aussi, permis à la justice  de conduire l’instruction du dossier dans le respect des valeurs qui fondent la République.

 En m’interdisant le simple accès au dossier la préfecture du lot a contribué à ma spoliation

Mais M. Exiga et ses complices n’ont pas fini avec les passe-droits et privilèges… je les expliquerai un peu plus loin.

 La gendarmerie nationale de Saint-Céré et Figeac, a manqué à son devoir d’impartialité en refusant de me délivrer une attestation précisant qu’elle n’était pas intervenue pour me faire sortir de mon bureau. Cette attestation aurait été la preuve que M. Exiga a menti. .Elle a préféré me renvoyer vers le procureur qui, bien entendu, a refusé. Ainsi, la gendarmerie qui est souvent à la recherche de témoignages, refuse de servir la vérité au profit de personnes qui n’ont cessé de violer la loi.

 Plus tard la gendarmerie n’a pas cessé de me harceler au motif que je dois accepter le classement sans suite de la plainte pour « prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux » alors même que le parquet contredit cette information. Je précise aussi que la gendarmerie refuse de me remettre une copie du rapport d’enquête. L’Iggn saisie affirme que la décision de classement sans suite existe bien mais est dans l’impossibilité de la présenter. Au sous-officier qui me harcelait, je lui ai fait remarquer qu’elle enfreignait la loi. « Oui, je sais » me répondit-elle avec détermination avant d’ajouter : «  On m’a demandé de le faire et je le fais ».

 Seul, vous Monsieur le Ministre, êtes capable de savoir qui a donné cet ordre pour me spolier au profit de 3 racistes notoires.

Seul, vous Monsieur le Ministre, êtes capable d’exiger que le rapport de la gendarmerie ainsi que les pièces qui le composent,  soient rendus public.

 Mme Martres Françoise, Présidente de la chambre sociale de la Cour d’appel d’Agen,  a pris à mon égard un arrêt qui bien que sévère ne pouvait appeler d’objections particulières si ce n’est le refus de m’appliquer le droit. Mme Martres a fait de moi un citoyen sans droit. Je précise qu’à cette occasion l’avocat de la partie adverse avait refusé de plaider estimant que cela n’était pas nécessaire. A la lecture de l’arrêt de la cour d’appel, il apparaît clairement, que Me Martres a remplacé l’avocat de la partie adverse.

Quelques mois plus tard, la Cour d’appel eut à se prononcer sur le recours de mon ancien collaborateur, M. Maynadier Eric, qui subit le même sort que moi  (Rappel : M. Exiga avait contraint M. Maynadier à témoigner contre moi …et après avoir remis son témoignage, il fut licencié).

 La comparaison des 2 arrêts, celui de M. Maynadier (8 novembre 2011) et le mien (8 janvier 2011)  laisse perplexe.

 -         Au regard de la classification des poste de travail, M. Maynadier a été positionné à un niveau hiérarchique, lui ouvrant droit à une indemnisation « correcte ». Quant à moi, je fus exclu de toute indemnisation et de toute classification, une violation de la convention collective. En somme, Mme Martres Françoise a classé un subordonné à un niveau que son supérieur et directeur de la structure n’a pas. C’est juste incroyable tant le mépris du droit est flagrant.

 -         L’indemnisation des heures supplémentaires était régularisée selon 2 méthodes, la plus favorable était appliquée à M. Maynadier. Et pourtant, on dit que la loi est la même pour tous.

 De cette comparaison, il apparaît indiscutablement que Mme Martres Françoise m’a exclu de l’application du droit. Elle a fait de moi un citoyen sans droit.

 Mme Martres Françoise, aurait pu inverser son barème et nul n’aurait objecté. Cependant, on ne répare pas une injustice par une autre injustice. Il suffit d’appliquer la loi.

 En comparaison à mon ancien collaborateur, Il est clair que Mme Martres Françoise, a pris à mon égard une décision dont le caractère raciste est clairement établi. Elle a commis un délit.

 Monsieur le Ministre, comme vous pouvez le constater, c’est tout le système administration-justice qui s’est mis en action au service de 3 racistes, tout le rouage a contribué à ma spoliation.

Que peut faire un citoyen contre cette machine bureaucratique, inhumaine et qui se revendique des valeurs de la République qu’elle piétine, sans regret ni respect aucun.

Quel avocat serait capable de dénoncer tant d’injustices ? Je ne l’ai pas croisé. Bien au contraire, il va soutirer des honoraires et oublier ses engagements. La preuve du racisme est tombée au cours de la procédure devant la cours de cassation et avant la décision de celle-ci. Imaginons qu’à la place de cette preuve gravissime du racisme de la justice, c’est une analyse Adn qui vient bouleverser ce dossier. La Cour de cassation va-t-elle décider en ignorant cette pièce ? Elle l’a fait car l’avocat n’a pas jugé bon d’alerter le Premier Président de la cour de cassation.

 Jamais un avocat aux conseils ne sera sanctionné quand bien même, à son tour, il viole la loi au détriment de son client. Et puis qui osera dévoiler cette catastrophe judiciaire ? Je devine les éventuelles menaces qui pèseraient sur leur activité mais le code de déontologie est clair : l’avocat défend les intérêts de son client avec honnêteté, probité et engagement. Je n’ai pas observé ce professionnalisme.

 Revenons aux autres privilèges dont bénéficiaient M. Exiga et ses deux complices … Décembre 2011, l’organisme adc est en situation de cessation de paiement, M. Exiga dépose le bilan. A cette époque, les entreprises en situation similaire, étaient presque toutes mises en liquidation. Cependant, l’organisme que préside M. Exiga va bénéficier d’une mesure de redressement, Or, il n’y a aucun signe, aucun argument qui permet de pronostiquer une issue favorable : M. Exiga n’a aucun niveau ni aucune expérience en matière de management d’un organisme de formation. Il aura fallu attendre, le 15 avril 2014, pour que le tribunal de Cahors décide la liquidation. La mesure aura coûté au contribuable, au bas mot 1 million d’€, voire le double auxquels s’ajoute la « disparition » des 200 000 €. Au même moment,  M. Exiga claironne les « bons résultats », de l’organisme de formation adc et annonce la nomination de la secrétaire (Mme Louf Chantal) qui venait juste d’obtenir le Daeu, l’équivalent du baccalauréat, en qualité de directrice de l’établissement de formation. On se serait cru dans un pays imaginaire mû par la pauvreté et l’ignorance !  Par cette décision insensée, M. Exiga inflige un véritable camouflet à la justice et au juge qui lui a fait confiance. Je crois savoir que M. Exiga n’a jamais été inquiété. ( https://www.ladepeche.fr/article/2014/02/12/1815904-saint-cere-adc-un-nouveau-president.html )

 Avec trois diplôme d’études supérieures et de nombreux certificats de spécialisation, j’ai apporté aux français, au cours de près de vingt ans d’activité, diplômes parfois prestigieux, emplois, dignité et fierté. Ma retraite s’élève à 640 €, ce montant est la résultante de ma spoliation et l’impossibilité d’obtenir certains bulletins de paie. On dit qu’il s’agit d’un droit, sans doute mais certainement pas pour ma personne. Le Conseil de prud’hommes du Lot, ne me pardonnera jamais le fait d’avoir dénoncé la forfaiture d’un de ses membres, M Blanchon Gérard.

 Depuis la liquidation de l’organisme adc,  c’est toute une partie de la population, en zone rurale, celle qui a besoin de toutes les attentions,  qui est privée des seules solutions qui permettent de cimenter la société. Qui n’a pas entendu parler  de la destruction d’écoles, dans le lointain Afghanistan, par ceux qu’on appelle les Talibans ? Dans le Lot, adc a été broyée, dans le silence, avec l’argent du contribuable. Je suis victime d’un véritable acte de terrorisme sous le regard des services de l’Etat et de la justice.

Qui peut fermer les yeux devant tant de barbarie, tant de sauvagerie et de haine ? Excepté la mort, j’ai tout subi. L’enfer de la République, j’y suis, de grâce, sortez-moi de là !

 Tous mes propos reposent sur des preuves indiscutables, il n’y a pas l’ombre d’une diffamation. J’affirme et je le démontre : la justice de la République est raciste.

 Monsieur le Ministre, vous pouvez sauver l’honneur perdu de la justice de la République.

 Monsieur le Ministre, je voudrais tout simplement récupérer ce qui aurait dû me revenir de droit. Je voudrais que l’état assume ses responsabilités dans une spoliation réalisée par ses propres institutions.

Le chantier de la réforme de la justice ne peut pas être celui engagé par votre prédécesseur. Les citoyens justiciables doivent être consultés.

 Dans l’attente de vous lire, je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à l’expression de mon profond respect.

 Rabah Bouguerra.

 

 

Pour plus d’informations, merci de consulter le blog.

https://danslenferdelarepublique.blogspot.com/

 

 

lundi 8 juin 2020

Manifestation du samedi 13 juin 2020 à 14h 30.



Objet : déclaration d’une manifestation.

Monsieur Le Préfet,
Nous portons à votre connaissance l’organisation  d’une  manifestation aux caractéristiques suivantes.

Date : Samedi 13 juin 2020 à 14h 30.
Thème : Halte au racisme – Stop aux violences policières.
Lieu de rassemblement : Parking de l’hôpital  (Face au Lycée)
Itinéraire : Notre cortège, partira à 15h, vers le tribunal de Figeac en marquant un arrêt devant la permanence parlementaire où les participants prendront la parole et remettront s’ils le souhaitent des lettres de doléances.
Fin de la manifestation : 18 h

Naturellement, toutes les dispositions sanitaires seront scrupuleusement respectées : port du masque et distanciation, notamment.

Nous demeurons à la disposition de vos services pour toute information complémentaire.

Nous vous prions de croire, Monsieur Le Préfet, à l’assurance de notre considération distinguée.

Pour les Gilets jaunes Occitanie et Grand Figeac.
Rabah Bouguerra
Président d’Euro-Med.


Copie : Madame Laurence Tur,  Sous-Préfète de Figeac.

Nos revendications :

-  Halte au racisme.

- Stop aux violences policières.

- Justice pour tous.

- Une commission d'enquête pour toutes les situations d'injustice.

A tous les participants : merci de respecter 

les consignes sanitaires:

 un masque, si possible jaune et la distanciation.


mardi 21 avril 2020

lundi 10 février 2020

M. Patrick Gerbault , Ministère de la justice II


Figeac le 10 février  2020

Monsieur Patrick Gerbault
Adjoint au chef du bureau du statut et de la déontologie.
Ministère de la justice.
13, place Vendôme
75042 Paris Cedex 01

Objet : Une autre suite à votre lettre du 30 décembre 2019.

Monsieur,
Vous n’avez sans doute pas pu apprécier le racisme de la justice de la république et vous êtes le seul.

Outre les « privilèges » dont ont bénéficié mes adversaires :

        - M. Exiga Jean-Claude
          -Mme Martignac Monique
          -M. Yves Couchouron

Faux, usage usage de faux extorsion de (faux) témoignage, escroquerie au jugement… et prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux  (200 000 € ont « disparu »…Certains disent que ce n’est pas beaucoup !). Cette plainte est toujours dans les tiroirs du tribunal de Cahors.  N’est-ce pas un déni de justice ?

Mes adversaires ont fait siéger un de leurs amis au conseil de prud’hommes du Lot ! Vous devinez le résultat ? Il s’agit de M. Blanchon Gérard qui pourtant me connaissait dans le cadre de mes activités professionnelles, sans être amis. Il a été d’une férocité à peine imaginable !

Gérard Blanchon , 
n'a pas été récusé ...et bien entendu, il ne l'a pas fait lui-même.

Que doit-il dire à ses enfants ? Qu’il a fait le Job !  Alors qu’avec un minimum de conscience il aurait dû se récuser. Les magistrats ont déclaré qu’il n’y a rien à faire. Et vous ? Que dites-vous ? La déontologie est sauve ? Ma seule faute est d’être arabe … Regardez les services que je rendais à la République ! Mes adversaires n’en sont pas capables, ils n’ont qu’un tout petit niveau.

La suppression des Conseils de Prud’hommes  est une mesure salutaire pour la République.

Regardez mon intervention auprès du Président de la République.


Sur mon blog, Je mets à l’honneur M.  Blanchon Gérard.




Je vous prie de croire, Monsieur, à l’assurance de ma considération distinguée.

Rabah Bouguerra
Un citoyen spolié … Une spoliation qui rappelle les pages sombres de l’histoire de France.

dimanche 5 janvier 2020

Un fonctionnaire répond à la lettre ouverte adressée à Mme Martres Françoise

M. Patrick Gerbault
Adjoint au chef de bureau ....écrit 


M. Gerbault ne dit pas s'il a entendu parler du "Mur des cons" qu'a édité Mme Martres Françoise. Malgré la gravité des faits, le ministère de la justice se décharge sur ce fonctionnaire qui est loin de connaître le dossier  ...

Je vous promets une réflexion sur "la séparation des pouvoirs" aujourd'hui ce concept sert juste à légitimer la fuite des responsabilité !

Le Président de la République est le garant du bon fonctionnement de toutes les institutions. 


mercredi 11 décembre 2019

Rodez , 3 octobre 2019 , interpellation du Président Macron.



Monsieur le Président de la République,

Je vous remercie de  l'attention que vous avez prêtée au bref exposé de ma situation. L'important est que vous avez saisi la gravité des faits. et j'ai bien noté votre engagement à donner suite.

Vidéo : mon intervention.


#MidiLibre #BfmTv

Voici les auteurs (Photo (La Dépêche)  de cette forfaiture qui fait de la justice de la République une justice raciste. Une situation qui ne les choque point.


https://www.ladepeche.fr/article/2014/02/12/1815904-saint-cere-adc-un-nouveau-president.html

Regardez-les ils sont au fond : (3e à partir de la gauche)
- Mme Martignac Monique ( ex UMP)... La droite quoi ? C'est elle qui donne les ordres.
- M. Couchouron Yves (ex PS) ... Il a une haine sans borne pour ma personne ... Et dire que j'ai défendu son fils Philippe ...qui ne m'a jamais témoigné le moindre mot de sympathie.
- M. Exiga Jean-Claude ...J'ai fait de lui le président d'ADC ... et il a usé des procédés les plus barbares pour me mettre à la rue... Il répète partout : "J'ai licencié le directeur" ... Il faut qu'il vous parle de son parcours, pour que vous puissiez saisir l'ampleur de la catastrophe.

Comme moi, M. Exiga n'est pas ce qu'on appelle un français de souche ... mais il semble l'avoir oublié.

L'autre personnage :

- M. Blanchon Gérard , conseiller prud'homal ( ami de Mme Martignac... ) ... Il a siégé et délibéré comme si de rien n'était. Il aurait dû s'auto-récuser ... Mes requêtes auprès de la justice n'ont pas abouti. C'est ainsi.Et les syndicats ... qui défendent les salariés , que disent-ils ? Rien.

A quand la suppression pur et simple des prud'hommes ?

Une catastrophe politique,  sociale, financière, et surtout judiciaire :
faux, usage de faux, extorsion de témoignage, escroquerie au justement ... prise illégal d'intérêt et abus de biens sociaux (Plainte toujours dans un tiroir du Tribunal , ce qui constitue un déni de justice) le tout ayant entraîné une décision de justice dont le caractère raciste est clairement établi. les preuves sont accablantes.


Voici la mise au point que j'avais déposée à propos de cet article:


Par décision du 15 Avril 2014, le tribunal de grande instance a ouvert une procédure de liquidation judiciaire immédiate à l’égard d’ADC (Saint-Céré). Le tribunal a constaté la cessation de paiement au 12 mars 2014. Nous sommes loin du tableau idyllique présenté par M. Exiga.

Pour rappel, ADC bénéficie d’une mesure de redressement depuis le 17 Janvier 2012, une mesure qu’elle n’aurait jamais dû obtenir. En effet M. Exiga venait d’être lourdement condamné par la cour d’appel, à payer à mon ancien collaborateur près de 200 000 € d’indemnités, charges comprises, pour licenciement abusif et non- respect du droit du travail. Une précision : M. Exiga n’a pas gagné devant les prud’hommes, contrairement à ce qu’il affirme …Il a perdu à moitié et la cour d’appel a rajouté l’autre moitié !

Pour ceux qui ne le savent pas, la mesure de redressement permet de faire supporter ces indemnités au FNGS (fonds de garantie des salaires) autrement dit le contribuable !
Il faut rajouter que j’ai laissé sur les comptes d’ADC, 200 000 € (150 000 d’avoir et 50 000 de facturation en cours) …une somme dont M. Exiga nie l’existence ! Mais où sont passées ces 200 000 € ? Sachant que j’ai déposé plainte contre M. Exiga « pour prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux », il faudra bien qu’il s’explique. Il faut moins d’une heure pour constater l’existence de cette somme …Et contrairement à ce qui se dit, cette plainte n’a pas fait l’objet d’un classement sans suite.
Cette mesure revient cher, très cher …A ces 400 000 euros, il faut rajouter la prestation du mandataire, l’avocat … et les autres créances dont certaines ne seront jamais honorées !

Un journaliste …devrait enquêter car la note devrait être du double, au moins !

Le clou de cet article est l’annonce de Mme Louf Chantal, directrice …C’est incroyable ! Mme Louf avait obtenu en 2008, grâce à son travail, bien sûr mais aussi aux cours particuliers de français que je lui donnais gratuitement, le Daeu (L’équivalent du Bac) et ce diplôme fait d’elle une directrice ! C’est avec ses compétences que l’on comptait redresser ADC ? J’ai du mal à imaginer la direction de la Société Andros, négocier avec Mme Louf qui voilà peu occupait un poste de manutentionnaire dans ses services, le plan de formation de son personnel !

Cette nomination est une insulte au juge  qui a pris la décision de redressement. 

Ou peut-être n’avons-nous pas la même définition du redressement …qui quotidiennement est refusé à des dizaines d’entreprises !

Quant à M. Bernard Jauzac, ( le premier sur la photo) je suis sûr qu’il ignore cette réalité pour accepter d’être le président qui conduit ADC, vers sa dernière demeure…

Je suis le fondateur d’ADC, et je le demeurerai toujours… ADC a été financée, pour moitié, avec mon argent… Ce qui me conduit à rappeler une des leçons de l’école de la république : « Bien mal acquis ne profite jamais »…

L’histoire d’ADC est un véritable désastre et ce n’est pas fini.

Pour rappel, M. Exiga n'a même pas le bac , qui peut croire, un seul instant qu'il soit capable de diriger un (petit) centre universitaire ? 

Combien aura coûté la liquidation d'ADC ?

Au bas mot 1 million d'euros  voire le double ...sans compter cette infamie de racisme qui pèse sur la justice de la République ...et une documentation pédagogique rare ( Daeu, anglais ...les progressions pédagogiques pour les publics en voie d'insertion...). Tout est perdu !

Qui fait mieux ?

Les talibans dans le lointain Afghanistan.

Voilà pourquoi Monsieur le Président de la République, 
ma retraite s'élève à 640 €,  
pour un bac + 13 ( En comptant seulement les diplômes)
 qui a tant donné au peuple français.

Un selfie avec le Président.





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