Rabah Bouguerra
21
avenue Julien Bailly
46100
Figeac
Tél :
0679652322 Email : h.r.bouguerra@gmail.com
Figeac, le 23 juillet 2020
Monsieur
Eric Dupond-Moretti
Ministre de la justice, garde des sceaux.
13, place Vendôme
75007 Paris
Lettre
recommandée avec avis de réception
Objet :
requête.
Monsieur
Le Ministre,
Connaissant
votre attachement aux valeurs de la République et à sa justice, vous me pardonnerez cette intrusion alors que
vous venez juste de prendre vos
fonctions.
Je
suis convaincu que vous n’accepterez jamais que la justice du pays des droits
de l’homme porte plus longtemps encore l’infamante tare de racisme. En effet,
un magistrat, Mme Martres Françoise, Présidente de la Chambre sociale de la
Cour d’appel d’Agen a pris à mon égard une décision discriminatoire dont le
caractère raciste est indiscutablement établi. (Arrêt du 18 janvier 2011)
Elle
a violé la loi, pour appliquer sa propre loi et permettre ainsi ma spoliation, comme en ces
temps douloureux qui avaient marqué le martyre de la France.
Dans
les faits, il n’y a pas que le délit commis par Mme Françoise Martres. En
effet, j’ai subi les méfaits d’une escroquerie
en bande organisée à laquelle ont participé
toutes les représentations de l’Etat.
Voici
la liste qui compose cette bande que je vous présente par ordre d’apparition
dans cette forfaiture qui marquera l’histoire de la justice en France :
1
- M. Exiga Jean-Claude, « éducateur » au sein du conseil départemental
du Lot.
2
- Mme Martignac Monique, « élue locale ».
3
- M. Couchouron Yves, « élu local ».
4
- M. Blanchon Gérard, « Conseiller prud’homal, c’est surtout un « ami » de Mme Martignac Monique.
5 - M. Seguin Eric, Procureur de la République, près le Tribunal de Cahors.
6
- La Préfecture du Lot.
7
- La Gendarmerie de Saint-Céré et de Figeac.
8
- Mme Martres Françoise, magistrat, Présidente de la chambre sociale de la Cour
d’appel d’Agen.
A
l’origine, trois individus qu’on qualifie généralement de
« notables », avaient décidé par le biais d’une grande magouille de
me mettre à la porte de l’organisme de formation (adc – association pour le développement des
compétences) que j’avais créé et financé. Nul ne conteste ce fait.
Il
s’agit de :
M. Exiga Jean-Claude,
président de l’association.
Mme Martignac Monique,
membre du conseil d’administration.
M. Couchouron Yves,
membre du conseil d’administration.
Ces
trois personnes étaient en situation d’illégalité absolue, au
regard de la gestion de l’association. Je mets au défi les intéressés comme les
services de la justice, d’apporter la moindre preuve d’un démenti.
Le
conseil d’administration se composait de 13 membres et ils sont trois à violer
la loi avec la bénédiction des services de l’Etat et de la justice.
En
effet, M. Exiga Jean-Claude et ses complices avaient usé de faux témoignage,
extorqué le plus important, en mettant
le deal entre les mains de mon ancien collaborateur : « Témoigne contre M. Bouguerra et je réglerai ta situation
financière ! » mais le Procureur de la République n’y voit aucune infraction à la loi. Pire
encore, une plainte a été déposée contre M. Exiga Jean-Claude et ses 2
complices : Mme Martignac et M. Couchouron Yves pour « prise illégale d’intérêt et abus
de biens sociaux. », suite à la « disparition »
de la somme de 200 000 € des comptes de l’organisme adc. A ce jour, la
plainte demeure dans les tiroirs du Tribunal de Cahors. Un déni de justice est bien constitué.
Ce
ne sont pas les seuls privilèges dont bénéficiaient M. Exiga et ses complices
qui, au surplus, font la justice.
Il
faut savoir que M. Exiga ne possède même le baccalauréat. Avec un niveau réel
en deçà, qui peut croire que ce monsieur soit capable de diriger adc, un centre universitaire, certes petit, mais
néanmoins très efficace. Par quel miracle peut-il avoir autant d’influence sur
des magistrats ?
S’il
n’y avait que cela …Je vous présenterai les autres privilèges qui vont conduire
adc à la liquidation judiciaire. (Décision
du 15 avril 2014 du Tgi de Cahors)
Une
première explication ce fiasco judiciaire : M. Exiga qui travaille dans le
cadre de l’aide sociale à l’enfance est en contacts très fréquents avec le
Procureur de la République. C’est cette relation professionnelle qui explique
tous les privilèges dont bénéficient M. Exiga et ses complices…
Le
quatrième personnage de cette tragédie est M.
Blanchon Gérard, « conseiller prud’homal », ami de mes adversaires du jour et surtout de
Mme Martignac Monique, l’idéologue de ce groupe. M. Blanchon a siégé et
délibéré en première instance comme si de rien n’était. Vous devinez le
résultat. Il n’a pas été récusé, faute d’information sur sa participation et il
ne s’était pas auto-récusé. Les requêtes
déposées pour sanctionner ce manquement grave au droit, ont été rejetées.
M. Seguin Eric,
Procureur de la République près le Tribunal de cahors a rejeté toutes les
plaintes visant M. Exiga et ses complices : faux, usage de faux, extorsion
de témoignage. Toutes les preuves soumises à la justice n’ont pas suffi à
faire valoir le droit. Pire encore, la plainte pour « prise illégale
d’intérêt et abus de biens sociaux » demeure sans réponse et constitue de
ce fait un déni de justice.
M.
Le Procureur de la République a couvert un faux, un grossier mensonge de M.
Exiga qui a déclaré au Tribunal qu’il avait fait intervenir la gendarmerie pour
me faire quitter mon bureau. Cette affirmation est mensongère mais la
gendarmerie refusa de m’établir une attestation déclarant l’inexistence du fait
allégué par M. Exiga, me renvoyant vers le Procureur de la République qui me
signifia que « la gendarmerie
n’avait pas à m’établir un tel document ». Ainsi la justice sait que
j’ai été spolié sur la base d’un gros mensonge, couvert par un magistrat.
M. Seguin Eric,
a également protégé M. Blanchon, « Conseiller prud’homal, qui a commis une
forfaiture en participant au procès. Le procureur de la République a rejeté mes
requêtes. Et, quand par miracle, le Procureur général de la cour d’appel
d’Agen, reçut ma plainte déposée devant le Csm (Conseil supérieur de la
magistrature), il me déclara tout simplement « qu’il était trop
tard » !
Alors
que la procédure a été abondamment trafiquée, ce que la justice reconnaît mais
n’admet pas l’éventuelle réparation du préjudice que j’ai subi, une honteuse
spoliation digne des pages sombres de l’histoire de France.
La Préfecture du Lot, dans un premier temps, m’a refusé l’accès au dossier de l’association adc, au nom de la séparation des pouvoirs, pourtant la
loi de 1901 est claire et me reconnaît la qualité de « partie prenante ». Ce n’est qu’au bout de 3 ans de
démarches et saisine de la Cada
(Commission d’accès aux documents administratifs) que la Préfecture du Lot
reconnait que
« la loi est favorable à ma
démarche », et que ma demande aurait dû être satisfaite de droit.
Cependant, il était déjà trop tard, M. Exiga vient de déposer le bilan de
l’organisme suite à une cessation de paiement …et la disparition des
200 000 € !
Nul
ne demande à un Préfet de juger en lieu et place d’un magistrat. Cependant
comme La préfecture a la responsabilité des dossiers des associations, elle
aurait dû, conformément à la loi de 1901, établir un rapport qui aurait, sans
doute, déclaré que M. Exiga et ses complices, en situation d’illégalité à
l’égard de la gestion de l’association, ce qui est la stricte vérité. Un tel
rapport, aurait sans doute déplu au magistrat, mais aurait sans doute aussi,
permis à la justice de conduire l’instruction
du dossier dans le respect des valeurs qui fondent la République.
En m’interdisant le
simple accès au dossier la préfecture du lot a contribué à ma spoliation
Mais M. Exiga et ses complices n’ont pas fini avec les passe-droits et privilèges…
je les expliquerai un peu plus loin.
La gendarmerie
nationale de Saint-Céré et Figeac, a manqué à son devoir d’impartialité en refusant de me
délivrer une attestation précisant qu’elle n’était pas intervenue pour me faire
sortir de mon bureau. Cette attestation aurait été la preuve que M. Exiga a
menti. .Elle a préféré me renvoyer vers le procureur qui, bien entendu, a
refusé. Ainsi, la gendarmerie qui est souvent à la recherche de témoignages,
refuse de servir la vérité au profit de personnes qui n’ont cessé de violer la
loi.
Plus
tard la gendarmerie n’a pas cessé de
me harceler au motif que je dois accepter le classement sans suite de la
plainte pour « prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux »
alors même que le parquet contredit cette information. Je précise aussi que la
gendarmerie refuse de me remettre une copie du rapport d’enquête. L’Iggn saisie affirme que la décision
de classement sans suite existe bien mais est dans l’impossibilité de la
présenter. Au sous-officier qui me harcelait, je lui ai fait remarquer qu’elle
enfreignait la loi. « Oui, je
sais » me répondit-elle avec détermination avant d’ajouter : « On m’a demandé de le faire et je le
fais ».
Seul,
vous Monsieur le Ministre, êtes capable de savoir qui a donné cet ordre pour me
spolier au profit de 3 racistes notoires.
Seul,
vous Monsieur le Ministre, êtes capable d’exiger que le rapport de la
gendarmerie ainsi que les pièces qui le composent, soient rendus public.
Mme Martres Françoise,
Présidente de la chambre sociale de la Cour d’appel d’Agen, a pris à mon égard un
arrêt qui bien que sévère ne pouvait appeler d’objections particulières si ce
n’est le refus de m’appliquer le droit. Mme Martres a fait de moi un citoyen
sans droit. Je précise
qu’à cette occasion l’avocat de la partie adverse avait refusé de plaider
estimant que cela n’était pas nécessaire. A la lecture de l’arrêt de la cour
d’appel, il apparaît clairement, que Me Martres a remplacé l’avocat de la
partie adverse.
Quelques
mois plus tard, la Cour d’appel eut à se prononcer sur le recours de mon ancien
collaborateur, M. Maynadier Eric, qui subit le même sort que moi (Rappel : M. Exiga avait contraint M.
Maynadier à témoigner contre moi …et après avoir remis son témoignage, il fut
licencié).
La
comparaison des 2 arrêts, celui de M. Maynadier (8 novembre 2011) et le mien (8
janvier 2011) laisse perplexe.
-
Au regard de la classification des poste de travail, M. Maynadier a été
positionné à un niveau hiérarchique, lui ouvrant droit à une indemnisation
« correcte ». Quant à moi, je fus exclu de toute indemnisation et de
toute classification, une violation de la convention collective. En somme, Mme
Martres Françoise a classé un subordonné à un niveau que son supérieur et
directeur de la structure n’a pas. C’est juste incroyable tant le mépris du
droit est flagrant.
-
L’indemnisation des heures supplémentaires était régularisée selon 2 méthodes, la
plus favorable était appliquée à M. Maynadier. Et pourtant, on dit que la loi
est la même pour tous.
De
cette comparaison, il apparaît indiscutablement que Mme Martres Françoise m’a
exclu de l’application du droit. Elle a fait de moi un citoyen sans droit.
Mme
Martres Françoise, aurait pu inverser son barème et nul n’aurait objecté.
Cependant, on ne répare pas une injustice par une autre injustice. Il suffit
d’appliquer la loi.
En comparaison à mon
ancien collaborateur, Il est clair que Mme Martres Françoise, a pris à mon
égard une décision dont le caractère raciste est clairement établi. Elle a
commis un délit.
Monsieur
le Ministre, comme vous pouvez le constater, c’est tout le système
administration-justice qui s’est mis en action au service de 3 racistes, tout
le rouage a contribué à ma spoliation.
Que
peut faire un citoyen contre cette machine bureaucratique, inhumaine et qui se
revendique des valeurs de la République qu’elle piétine, sans regret ni respect
aucun.
Quel
avocat serait capable de dénoncer tant d’injustices ? Je ne l’ai pas
croisé. Bien au contraire, il va soutirer des honoraires et oublier ses
engagements. La preuve du racisme est tombée au cours de la procédure devant la
cours de cassation et avant la décision de celle-ci. Imaginons qu’à la place de
cette preuve gravissime du racisme de la
justice, c’est une analyse
Adn qui vient bouleverser ce dossier. La Cour de cassation va-t-elle décider en
ignorant cette pièce ? Elle l’a fait car l’avocat n’a pas jugé bon
d’alerter le Premier Président de la cour de cassation.
Jamais
un avocat aux conseils ne sera sanctionné quand bien même, à son tour, il viole
la loi au détriment de son client. Et puis qui osera dévoiler cette catastrophe
judiciaire ? Je devine les éventuelles menaces qui pèseraient sur leur
activité mais le code de déontologie est clair : l’avocat défend les
intérêts de son client avec honnêteté, probité et engagement. Je n’ai pas
observé ce professionnalisme.
Revenons
aux autres privilèges dont bénéficiaient M. Exiga et ses deux complices … Décembre
2011, l’organisme adc est en situation de cessation de paiement, M. Exiga
dépose le bilan. A cette époque, les entreprises en situation similaire,
étaient presque toutes mises en liquidation. Cependant, l’organisme que préside
M. Exiga va bénéficier d’une mesure de redressement, Or, il n’y a aucun signe,
aucun argument qui permet de pronostiquer une issue favorable : M. Exiga
n’a aucun niveau ni aucune expérience en matière de management d’un organisme
de formation. Il aura fallu attendre, le 15 avril 2014, pour que le tribunal de
Cahors décide la liquidation. La mesure aura coûté au contribuable, au bas mot
1 million d’€, voire le double auxquels s’ajoute la « disparition »
des 200 000 €. Au même moment, M.
Exiga claironne les « bons résultats », de l’organisme de formation
adc et annonce la nomination de la secrétaire (Mme Louf Chantal) qui venait juste d’obtenir le Daeu, l’équivalent
du baccalauréat, en qualité de directrice de l’établissement de formation. On
se serait cru dans un pays imaginaire mû par la pauvreté et l’ignorance ! Par cette décision insensée, M. Exiga inflige
un véritable camouflet à la justice et au juge qui lui a fait confiance. Je
crois savoir que M. Exiga n’a jamais été inquiété. ( https://www.ladepeche.fr/article/2014/02/12/1815904-saint-cere-adc-un-nouveau-president.html
)
Avec
trois diplôme d’études supérieures et de nombreux certificats de
spécialisation, j’ai apporté aux français, au cours de près de vingt ans
d’activité, diplômes parfois prestigieux, emplois, dignité et fierté. Ma
retraite s’élève à 640 €, ce montant est la résultante de ma spoliation et
l’impossibilité d’obtenir certains bulletins de paie. On dit qu’il s’agit d’un
droit, sans doute mais certainement pas pour ma personne. Le Conseil de prud’hommes du Lot, ne me pardonnera jamais le fait d’avoir dénoncé la
forfaiture d’un de ses membres, M Blanchon Gérard.
Depuis
la liquidation de l’organisme adc, c’est
toute une partie de la population, en zone rurale, celle qui a besoin de toutes
les attentions, qui est privée des
seules solutions qui permettent de cimenter la société. Qui n’a pas entendu
parler de la destruction d’écoles, dans
le lointain Afghanistan, par ceux qu’on appelle les Talibans ? Dans le
Lot, adc a été broyée, dans le silence, avec l’argent du contribuable. Je suis
victime d’un véritable acte de terrorisme sous le regard des services de l’Etat
et de la justice.
Qui
peut fermer les yeux devant tant de barbarie, tant de sauvagerie et de
haine ? Excepté la mort, j’ai tout subi. L’enfer de la République, j’y
suis, de grâce, sortez-moi de là !
Tous
mes propos reposent sur des preuves indiscutables, il n’y a pas l’ombre d’une
diffamation. J’affirme et je le démontre :
la justice de la République est raciste.
Monsieur
le Ministre, vous pouvez sauver l’honneur perdu de la justice de la République.
Monsieur
le Ministre, je voudrais tout simplement récupérer ce qui aurait dû me revenir
de droit. Je voudrais que l’état assume ses responsabilités dans une spoliation
réalisée par ses propres institutions.
Le
chantier de la réforme de la justice ne peut pas être celui engagé par votre
prédécesseur. Les citoyens justiciables doivent être consultés.
Dans
l’attente de vous lire, je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à
l’expression de mon profond respect.
Rabah Bouguerra.
Pour plus d’informations, merci de consulter le
blog.
https://danslenferdelarepublique.blogspot.com/
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RépondreSupprimerNe perds pas ton temps. Ce sont des franc-maçons. Ils seront exterminés dès le début de la libération.
RépondreSupprimerLa "justice" et la "démocratie" sont leurs armes contre nous.
Ces gens là doivent mourir. Il n'y a aucune autre solution.
Cher Patrice,
SupprimerCesser de se battre c'est renoncer à ses droits ... Cela veut dire que tu as perdu ! Ce combat ne cessera qu'à l'obtention de mes droits ou la mort. Ils ont ce pouvoir !
Estimes-toi heureuse qu'ils ne t'aient pas fait interner de force dans un hôpital psychiatrique, t'obligeant à laisser tes animaux de compagnie seuls durant 2 mois (c'est ma vielle mère qui m'a fait sortir de là, je perdais la vue et je n'arrivais plus à me déplier, à cause de leurs drogues. J'avais 34 ans. Dans ce centre, une malade m'a violé et elle a un enfant de moi, entre autres joyeuseté)
RépondreSupprimerCe gens là ne respectent aucune loi.
Les gendarmes sont tous franc-maçons (regarde avec Beltrame).
Cessez de croire encore en la justice.
La seule justice, c'est celle qu'on va se rendre nous-même !
AUX ARMES CITOYENS !
Cher Patrice,
SupprimerC'est vrai , ils violent les lois de la République qu'ils salissent honteusement ...mais ils n'ont honte de rien .
Donne leur adresse à un junky, avec une avance de 1000€ et une promesse de 4000€ après le travail.
RépondreSupprimerTu verras, ça fonctionne bien.
Cher Patrice,
SupprimerJe ne compte pas recourir à un tel procédé ...et puis je n'en ai ,pas les moyens. On m'a spolié ...comme en 1940.
Le coup du racisme, par contre... Tu le prouves comment?
RépondreSupprimerEn plus, t'es de notre race, t'es une Berbère (pas une arabe)...
T'es de race européenne. Les Amazighs sont des ibères.
Pourquoi toujours prétendre qu'on est racistes avec vous?
J'ai pas connu plus racistes que les musulmans.
Cher Patrice,
RépondreSupprimerD'abord ... je suis un homme.
Quand tu écrit "le coup du racisme" ...tu es déjà dans la défense de ces gens. Tu me paraît quelqu'un d'intelligent qui n'a pas besoin qu'on lui dise tout pour comprendre ... Penses-tu qu'on puisse écrire une telle lettre au Ministre de la justice, en citant tous les noms, sans disposer des preuves les plus indiscutables ?
Pas un de mes mots ne peut être considéré comme une diffamation !
Est-ce que le fait que les musulmans soient racistes (encore que la généralisation soit infondée) justifie qu'on me spolie?
N'oublie pas qu'il y a des oppresseurs et des opprimés comme tu l'as été .
Cher Patrice ,
RépondreSupprimerje corrige : tu me parais .
Merci de cocher ta réaction (à la fin de l' article.
Partage le lien si tu penses que cela est utile.
Miss France : April Benayoun et les autres …Ce sont des milliers voire des millions de tweets et autres messages qui ont circulé à travers les réseaux sociaux pour dénoncer des messages affreusement racistes … Nul ne peut contester la stupidité de ces propos et des comportements qui leur sont associés. Pour nous les descendants d’Abraham, que la paix soit sur lui, notre solidarité est entière avec April et sa famille qui est aussi la nôtre. Que la justice passe mais elle doit aussi passer pour les actes racistes qui nous frappent.
RépondreSupprimerBeaucoup ont trouvé l’occasion de se faire « une pub » sur le dos d’April. Je ne cite que @MarlèneShiappa …qui ne dira jamais un mot pour dénoncer le racisme d’état et le terrorisme d’état… et ces associations : @ldh @Sos-racisme @Licra @AmnestyFrance, @Mrap et j’en oublie volontairement. Ces associations délivrent un message clair aux racistes : Faites ce que vous voulez et vous ne serez pas inquiétés. Ces associations reçoivent dans l’opacité, des millions d’euros de subventions. Les citoyens doivent exiger que bilans financiers soient publiés tout comme la rémunération des dirigeants. Vous serez bien surpris ! Enfin ces associations vont-elles se rebeller contre la main qui les nourrit ? J’ai écrit plusieurs articles sur la Ldh … Lisez–les, ils sont sur mon blog. Vous en serez encore plus surpris !