M. Rabah Bouguerra
21 avenue Julien Bailly46100 Figeac
Tél. 05 65 34 71 92
E-mail : h.r.bouguerra@gmail.com
Figeac, Le 17 Septembre
2012.
Madame la secrétaire
départementale
Monsieur le
secrétaire départemental
Des syndicats Cgt –
Cfdt – Fo et Unsa
46000 Cahors
Objet :
Traitement de ma situation par le conseil de prud’hommes du lot
Référence : application de l’article L 1442-11 et
suivants du code du travail.
Madame, Monsieur,
Le
jugement référencé RG n° F 08/00228 du 16 février 2010, dans l’affaire
m’opposant au président de l’association ADC, est entaché d’une flagrante
irrégularité ;
En
effet, le conseiller Gérard Blanchon qui a participé aux délibérations et au
jugement de cette affaire, est le collègue et ami de Mme Martignac Monique.
Tous deux exercent ou ont exercé pendant de longues années en qualité de cadres
de la société Sermati
à Saint-Céré. Mme Martignac, était au moment des faits membre du conseil
d’administration d’ADC. En réalité, elle est l’instigatrice du conflit qui a
conduit à ma spoliation. A ce titre,
elle est citée dans deux procédures, pour complicité, pour usage d’un faux
témoignage obtenu par des moyens illégitimes, vulgairement appelé extorsion de
témoignage, dans l’une et prise illégale d’intérêt et abus de bien sociaux,
dans l’autre.
Conformément
à la procédure décrite à l’article susvisé et suivants, j’ai saisi Madame la Présidente du conseil de
prud’homme du Lot, par requête du 27 Juillet 2012 qui, à ce jour, n’a eu aucune
suite.
La
même requête a été adressée à Monsieur le procureur de la république qui, avant
son départ définitif, me fit une réponse, antidatée et qui ne répond nullement
à la préoccupation posée.
Le
nouveau procureur de la république a été saisi.
Vous
comprendrez aisément pourquoi, le jugement susvisé est totalement à charge.
Dans
cette situation, qui passera le 18 septembre prochain en cassation, je ne suis
pas le seul à avoir été particulièrement abusé. Les organisations syndicales le
sont, autant sinon plus que moi et plus particulièrement celles qui étaient
représentées à ce jugement. Je souhaite connaître votre position.
Plusieurs
procédures ont été introduites autour de ce dossier.
Je
demeure à votre disposition.
Je
vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l’assurance de ma considération
distinguée.
Annexe
Affaire Bouguerra
/ ADC représentée par M. Exiga Jean-Claude, président de l’association
Les points de repère.
1 – 2008 – un conflit éclate à ADC, en ma qualité de fondateur et financeur de la
structure je saisis le Préfet et le Procureur de la république. Le premier
décide de me refuser l’accès au dossier, alors que j’étais un administrateur
légalement désigné. Ce n’est que 3 ans plus tard que M. le Préfet m’informe que
la loi m’autorise à y accéder pleinement ! ! ! Le Second, va
assurer à M. Exiga et à ses 3 complices (Mme Martignac UMP, M. Couchouron PS et
M. Cayre) une véritable protection, même sur les actes délictueux.
2 – Je me dois de préciser que M. Exiga et ses 3 complices
étaient dans l’illégalité absolue. Ils ne respectaient aucune disposition de la
Loi du 01/07/1901. Les autorités susvisées connaissaient parfaitement cette
situation.
3 – 2012, une plainte
est déposée contre M. Le Procureur de la république auprès du Conseil
supérieur de la magistrature (CSM) – A
suivre !
4 – Les plus hauts
responsables du PS et de L’UMP, saisis, ne disent pas un mot …
5 – Jugement du Conseil de prud’hommes…avec la participation
de leur ami M. Blanchon, la partie adverse avait de quoi se réjouir.
6- La cour d’appel d’Agen, minimise le jugement du conseil
de prud’hommes …sans plus. Cependant, en statuant sur le recours de mon ancien
collaborateur – lui aussi licencié après avoir témoigné contre moi. Il a
produit, depuis, à la justice un
témoignage et une preuve démontrant l’extorsion de témoignage …- elle le classe
à un niveau hiérarchique nettement supérieur au mien ! Je ne m’étale pas sur les autres aspects du
dossier.
7– Une plainte est
déposée auprès du CSM contre le magistrat de la cour d’appel d’Agen :
décision discriminatoire dont le caractère raciste est clairement posé. Comment cela est-il possible ? – A
suivre !
8 – Quelle est la situation d’ADC, aujourd’hui:
Le 17 Janvier 2012, suite à la
cessation de paiement, M. Exiga dépose le bilan. Cependant, alors qu’il vient
d’être condamné par la cour d’appel à payer plus de 120 000 € (avec les
charges), à mon ancien collaborateur –licenciement abusif et non-respect du
droit du travail – alors que ses bilans présentaient des déficits colossaux
depuis 2008…Le TGI de Cahors lui accorde une mesure de redressement … faisant
supporter au FNG (autrement dit aux cotisations des salariés) les fautes de
gestion du président de l’association. M. Exiga qui déclarait publiquement que
je n’avais pas laissé d’argent sur les comptes … j’ai déposé plainte pour que
la justice retrouve les 200 000 €, le fruit de plus de 17 ans de dur
labeur ! J’ai été entendu par la gendarmerie à qui j’ai confirmé, de façon
détaillée tous ces éléments …puis plus rien.
9 – Conclusion : Il
faut préciser que les principales actions éducatives d’ADC dont le prestigieux
Diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU) – un outil de promotion
sociale au service des citoyens - ont été détruites… et pas une voix ne semble
condamner un tel massacre !
Consulter : http://danslenferdelarepublique.blogspot.fr
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