Pas de Réponse !
Rabah Bouguerra
21
avenue Julien Bailly
46100
Figeac
Tél.
0565347192 ou 0679652322
E-mail.
h.r.bouguerra@gmail.com
Figeac le 27 septembre 2017.
Monsieur Emmanuel Macron
Président de la République
Palais de l’’Elysée
55 rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 Paris.
Lettre recommandée avec
avis de réception.
Objet :
Je sollicite votre protection.
Monsieur
Le Président de la République,
Je sollicite la
protection que vous nous promettez : je suis victime d’une
spoliation qu’il est difficile d’imaginer de nos jours. Et pourtant, elle
s’impose à l’analyse tant les preuves sont incontestables.
Dans
l’unique but de me spolier, un haut magistrat, Madame Martres Françoise, a pris à mon égard une décision discriminatoire
dont le caractère raciste est clairement établi.
Cette discrimination est strictement conforme à la définition légale et qui en fait un délit. En outre, aucune institution de la république
ne conteste mon accusation. Cependant la majorité d’entre elles, observe un
incompréhensible silence.
Que peut faire un simple citoyen contre un haut
magistrat qui commet un délit dans l’exercice de ses fonctions ? Rien… car
tout le système se met en action pour assurer sa protection.
Monsieur le Président de la République, je ne
conteste pas l’indépendance du juge mais je dénonce la faute grave qu’il a
commise et l’injustice qui en découle et dont je suis victime. C’est le silence
de toutes les institutions qui me conduit à me tourner ver vous.
Je ne citerai que le cas du conseil supérieur de la magistrature (CSM)
qui ne conteste nullement mon accusation mais rejette ma requête, au motif que
je n’aurais pas cité nommément le magistrat visé par ma plainte. Une
affirmation fausse et aisément vérifiable. Faut-il en rire ou en pleurer ?
En tout cas c’est bien triste pour le pays des droits de l’homme. 1/4
A l’origine
de cette situation.
Trois hors-la-loi, il ne s’agit pas d’une banale
expression, mais d’une réalité que même la justice ne pourrait que confirmer, ont
décidé de s’accaparer de l’organisme de formation que j’avais créé et développé
et ils y réussirent sans difficulté.
Cette opération a été rendu possible en raison des
relations particulières qu’entretenait l’instigateur de cette spoliation avec
le Procureur de la République. Autrement, comment pourrait-on comprendre cette décision
insensée prise par le magistrat de la cour d’appel : Madame Martres
Françoise ?
Décision raciste ou le droit à la tête du
client ? L’une comme l’autre est un déshonneur pour le corps des
magistrats et pour la République dont les valeurs inspirent toute l’humanité
L’auteur de ce forfait et ses deux complices
bénéficient d’un incroyable parti pris. Ils produisent des faux et extorquent
des témoignages. En fait, ils font la justice de la République. Chaque délit
constaté, a fait l’objet d’une plainte
que le procureur de la République classait systématiquement sans suite.
Un
détournement de fonds, que couvre un mystérieux silence de la justice.
Les auteurs de cette spoliation ont, en outre, détourné la somme de 200 000 €, et la
plainte comme l’enquête qui s’en est suivie demeurent aujourd’hui encore un
secret. Cinq ans plus tard, le parquet ne s’est toujours pas prononcé et
probablement, il ne le fera jamais, sans l’intervention d’une haute autorité
comme la vôtre.
Et comme si tous ces privilèges ne suffisaient
pas et alors que la cour d’appel venait
de condamner lourdement cet instigateur pour le licenciement de mon ancien
collaborateur, le TGI lui accorde une mesure de redressement, autrement dit,
une prime à la casse.
Ultime humiliation pour la justice de la
République, on apprend au moment de la liquidation judiciaire de l’organisme de
formation, que la secrétaire, d’à peine un niveau baccalauréat, était nommée en
qualité de directrice de l’établissement. L’auteur de ce désastre, n’a à aucun
moment été inquiété.
Au Conseil
de prud’hommes.
Un conseiller prud’homal, ami de la partie
adverse, a siégé et délibéré avec le résultat que nous connaissons. Après
bien des démarches, le Procureur de la république ne voulant rien entendre et
le Csm affirmant que cette institution n’entre pas dans son champ de compétences,
je reçus un courrier du Procureur général que je n’avais pas du tout saisi, me
signifiant qu’il n’y avait plus rien à faire !
2/4
La
Gendarmerie nationale.
L’auteur de ce désastre, un certain M. Exiga
Jean-Claude qui bénéficie de toutes les protections déclara devant le Conseil
de prud’hommes qu’il avait fait appel à
la gendarmerie pour me faire quitter le bureau. Ce qui est absolument faux.
Sollicités, la Gendarmerie comme le Procureur de la république, on refusé de
délivrer un document qui dirait tout simplement la vérité. Comment une telle
position est – elle possible ?
Pire encore, pendant des mois j’ai été, harcelé
par la gendarmerie qui voulait que je considère que la plainte pour
« prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux » contre M.
Exiga Jean-Claude et ses complices, comme ayant fait l’objet d’un classement
sans suite et ce contrairement à l’avis du parquet. Je confirme qu’à ce jour, cette plainte n’a donné lieu à aucune suite.
J’ai saisi la hiérarchie du Groupement
départemental à l’Iggn en passant par le Ministère de l’intérieur. Ce denier
observe, à ce jour, le même silence. Quant à l’Iggn, par la voix du général de
corps d’armée Philippe Marvillet, pour me signifier une fin de non recevoir,
m’indiquait que la décision a bien été prise. A ce propos, la hiérarchie, peut
me faire taire et même me faire condamner en produisant la dite décision.
Celle-ci n’a jamais existé. La Gendarmerie a le devoir d’impartialité, en
l’espèce elle le bafoue et le citoyen n’y peut rien.
Le conseil
de l’ordre des avocats au conseil d’Etat et à la cour de cassation.
Au cours de la procédure devant la cour de
cassation et bien avant le rejet de mon pourvoi, est apparue la décision
concernant mon ancien collaborateur dont la comparaison avec la mienne,
démontre clairement la discrimination dont je fus la victime. Malgré ses
engagements, mon avocate n’a pas remis ce nouveau moyen à la cour de cassation.
Je précise que ce moyen est du même ordre qu’une analyse Adn. Peut-on ne pas
tenir compte d’un tel résultat, même la veille d’un procès ?
Voilà cinq ans que j’ai engagé une procédure à
l’encontre de mon avocate. A ce jour, nous ne savons toujours pas pourquoi elle n’a pas respecté ses
engagements bien qu’elle ait été payée et bien que le code de déontologie pose
comme principe premier la défense des intérêts du client.
Monsieur Le Président de la République, dans cette
situation, le citoyen victime d’une erreur ou d’une faute, doit d’abord payer
les honoraires (entre 3000 et 4000€) – une surcouche à l’injustice - à un
avocat de la même institution. Le Conseil de l’ordre vous précise, malgré le
paiement d’honoraires, que l’avocat est « libre des ses écritures », autrement
dit le justiciable n’a presque aucune chance de faire valoir la véritable
version des faits.
Cette procédure est une violation flagrante de la
constitution.
Après maints contacts, au cours desquels j’ai
essuyé parfois des refus méprisants, j’ai dû faire des concessions pour trouver
un avocat qui présente une défense aux arguments très dépouillés mais dans laquelle il essaie de faire valoir
un préjudice moral, mince consolation quand la cour de cassation aura tranché.
3/4
Monsieur le Président de la République, mais pourquoi
la Cour de cassation ? Cette procédure viole le principe d’égalité et
signifie clairement que le citoyen-victime n’aura aucun autre recours.
Enfin cette procédure, introduite par une
victime, devait être gratuite et
entièrement indépendante de l’ordre des avocats aux Conseils.
Cependant cette dernière décision, même si elle m’était
favorable ne règlerait pas pour autant le problème de fond : mon
indemnisation.
Monsieur le Président de la république, je
voudrais que vous sachiez, alors qu’on parle d’un droit absolu, je n’ai pas pu
récupérer tous mes bulletins de salaire et que finalement l’universitaire que
je suis et qui a tant donné à la République,
bénéficie d’une retraite de 700 €. C’est ainsi, quand le système décide
de combattre un simple citoyen, il
s’arroge tous les droits et il n’a aucune limite.
Monsieur Le Président de la République, je n’ai
guère le choix, je dois récupérer mes indemnités. Aussi, je vous prie de
prendre une décision juste et équitable. L’Etat est responsable de ce magistrat
qui a pris cette décision qui déshonore la République. Rendez-moi justice et ce
faisant vous sauvez l’honneur de la république.
Il n’y a pas un mot dans mes propos qui puisse
être considéré comme diffamant et si tel était le cas que ceux que je dénonce engagent à mon
encontre des procédures judiciaires : ils ont été capables de me
dépouiller, ils seront capables de me faire condamner
Monsieur Le Président de la République,
naturellement, j’avais saisi vos prédécesseurs. Eux, préféraient ne rien dire
et ne rien faire, comme si le silence était une solution. J’avais saisi les
parlementaires, notamment ceux de mon département, aujourd’hui ralliés à votre
mouvement, jamais ils n’ont dit à mes adversaires, en réalité leurs amis, que
leurs actes étaient contraires à tout : à la morale comme aux lois de la
république.
Plus que jamais une solution amiable, juste,
équitable et respectueuse des droits du citoyen, s’impose. Ce faisant, elle préserve l’honneur
de la justice de la république et celui
de ces nombreuses personnalités qui ont été associées à ce sordide dossier.
Je demeure à la disposition des services de
l’Etat.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président de
la République, à l’expression de mon profond
respect.
Rabah
Bouguerra
Pièces
jointes :
-
Histoire
d’une spoliation …(les principaux moments)
-
Projet
de mémoire … (Ou comment le système se protège ?) 4/4
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