Défenseur des droits, services de l'état, justice, que font-ils pour la protection des citoyens?
jeudi 6 septembre 2018
mardi 4 septembre 2018
11 septembre 2018
Merci de relayer ce message...
Le 13 Janvier 2013, soit depuis plus de 5 ans et demi, j'ai engagé une action contre mon avocate, qui mes yeux avait commis une faute grave , en ne faisant pas ce qu'elle avait promis de faire, à savoir utiliser les documents que je lui avais confiés et qui démontrent clairement et sans ambiguïté aucune que le magistrat de la cour d'appel avait pris à mon égard une décision discriminatoire dont le caractère raciste est indiscutablement établi.
Malgré ses engagements par trois courriers indiscutables, elle n'utilisa pas "ces documents au mieux de mes intérêts" (Sic)
Mon avocate ne me donna aucune explication, pire, elle continua d'afficher un silence méprisant...et pourtant elle a perçu des honoraires conséquents.
Comme vous pouvez le constater la procédure est très très très longue...Tout est fait pour protéger un avocat même quand il commet ne faute monstrueuse . Et c'est le cas.
Alors le mardi 11 septembre 201 la cour de cassation examinera cette affaire.
Vous vous posez des questions ? Alors n'hésitez pas ....et surtout , retenez bien cette date
Mardi 11 septembre 2018 à 14 h
Cour de cassation
5, quai de l'horloge
75005 Paris.
Cour de cassation
5, quai de l'horloge
75005 Paris.
mardi 12 juin 2018
Le conseil supérieur de la magistrature (Csm)
J'ai saisi le conseil supérieur de la magistrature (Csm) d'une plainte contre le magistrat qui a pris à mon égard une décision discriminatoire caractère raciste...
Le Csm m'informe après plusieurs relances que ma plainte est irrecevable pour différentes raisons.
Dans les prochaines heures je rendrai publique cette correspondance.
Et pourtant, cette sinistre décision constitue bien un délit :
-
De
la loi 2001 – 1066 du 16/11/2001 relative à la lutte contre la discrimination.
- L’article
432-7 du code pénal. (Ce qui lui vaudrait une peine d'emprisonnement en raison des circonstances aggravantes : il porteur d'une autorité publique)
Ce magistrat a pris sa décision au nom du peuple français. Alors, je vais me charger d'informer ce même peuple
vendredi 6 avril 2018
Quel projet pour la francophonie ?
Il y a le combat contre les injustices ...
et le combat pour les idées.
Quel
projet pour la francophonie ?
Par Rabah Bouguerra
Je ne suis pas un
« défenseur grincheux » de la langue française mais je suis atterré
par ce que je lis à propos du projet pour la francophonie que la presse rapporte sans recul aucun. « Le
français, c’est cool ! » dit
Leila Slimani, prix Goncourt et représentante du Président de la République
pour le projet, en guise d’introduction à la présentation de sa vision du monde
francophone et francophile ! Nul doute,
cette position n’est pas grincheuse mais signe sa reddition devant la langue de sa majesté la
reine !
Dois-je donner des arguments pour
vous convaincre que les Anglais font mieux que nous ? Inutile, tant les
performances des Britanniques subjuguent toute la planète.
L’université de
Cambridge…
Jusqu’à la fin des années 80, le Royaume uni confiait
la diffusion de l’anglais à deux universités Oxford et Cambridge mais dès le
début de la décennie suivante la
mission fut confiée à cette dernière. Je n’étais pas et d’ailleurs je ne suis
toujours pas dans le secret des dirigeants britanniques mais quelque chose me
dit qu’avec deux établissements pilotes, on devait, au moins de temps en temps,
se marcher sur les pieds. Alors par soucis d’efficacité, on confia l’étendard à
l’université de Cambridge ! Du Pet (Preliminary English Test) au Cpe
(Certificate of Proficiency in English) en passant par le Fce (First
Certificate in English) et le Cae (Certificate in Advanced English),
l’Université de Cambridge organise quatre
fois par an, à la même date et à la même heures , à travers le monde
entier, (1) les épreuves d’évaluation
qui permettront à l’autorité universitaire de délivrer plus d’un million de
diplômes ( Désolé, je n’ai pas actualisé
mes chiffres !). Comment résister à ce bulldozer ?
Sans doute, vous vous demandez
pourquoi je vous inflige ce discours alors que c’est la francophonie qui nous
préoccupe ! Interrogez l’entraîneur de l’équipe de France de rugby et il
vous répètera qu’il a fallu décortiquer le jeu anglais pour battre le XV de la
rose !
« Le français c’est
cool », nous sommes d’accord mais une validation de Cambridge arborée sur
un Cv c’est classe ! (2)
L’Alliance française …
L’alliance française est
l’association qui diffuse le français à travers le monde. Elle est peu connue
mais même quand on essaie d’obtenir des informations, il faut vous armer de
patience. Voilà quelques années l’Obs avait consacré un article à la vénérable
institution. A la question, « Que savez- vous de l’alliance française ? ».
« C’est le lieu où on rencontre beaucoup de jolies filles » était la
réponse la plus souvent donnée, rapporte le journaliste chargé de l’enquête. Une surprenante réponse pour distinguer un
lieu de savoir !
Au-delà de l’anecdote, l’alliance
française a une connotation péjorative. Elle renvoie à collaboration dont
personne n’en veut tant elle évoque un passé douloureux ! Il faut
croire au miracle pour penser que l’Alliance française puisse rivaliser avec
l’illustre université britannique.
Cambridge vs La Sorbonne.
Vous pensez sérieusement que
l’Alliance française puisse faire le poids devant l’université de Cambridge ?
Alors que la France dispose d’un étendard qui ne demande qu’à être levé :
l’Université de la Sorbonne, le phare de la culture française qui guide, déjà,
les vaisseaux des cinq coins du
globe (Désolé pour les autres
universités françaises qui ont sans doute autant de mérite). Efficacité oblige !
Comme les anglais, il faut faire un
choix !
A cela, les échos qui nous parviennent propos de l’Alliance française conduisent les
citoyens s’interroger alors que les
autorités françaises ne semblent pas
vouloir s’exprimer publiquement pour
donner un utile contrepoids au documentaire d’Envoyé spécial qu’a diffusé
France 2. (3)
Le président Emmanuel Macron nous
a habitué à des idées audacieuses et à
des projets qui le sont autant (Révolutionnaire, étant galvaudé, voilà pourquoi
nous ne l’utilisons pas) notamment à propos de l’éducation, nous livre sur le
sujet un non-projet ! Comment peut-on ne pas s’interroger sur ce qui fait
la force des anglais pour demeurer dans ce chemin bourbeux dans lequel
s’enlise la francophonie.
La francophonie…en
France et à travers le monde.
Le Président Macron a promis de «
sanctuariser » le financement de
l’Alliance française dont l’action est avant tout orientée à l’international. (Dans
cet article de l’Obs, une des responsables de l’Alliance française déclarait
que cette dernière était financée à 100 % par les usagers !). Cependant, tout
semble indiquer que les « oubliés de la Républiques » ne sont
concernés par aucune réflexion. Ils sont plus de trois millions de français en
souffrance au regard de leur propre langue. D’où viennent les trois
millions ? Souvenez-vous des 160 000 jeunes qui quittent annuellement
le système éducatif en situation d’échec. Lors d’un de ses derniers discours,
Najat Vallaud-Belkacem nous apprend qu’ils ne sont plus que 90 00 !! Attendons
la confirmation de l’Insee ! Mais faites le compte : la situation
dont hérite l’actuel gouvernement est catastrophique. Ce faible niveau de
maîtrise de la langue française explique bien des paradoxes : ces nombreux
emplois qui ne trouvent pas preneurs ! Ces cris de détresse de bien des
entrepreneurs ! La stagnation de l’apprentissage… Et enfin, la conséquence
la plus dramatique de cet abandon, est la situation dans laquelle se trouvent
les banlieues des grandes villes qui produisent, en masse, des dealers
expérimentés et des imams autoproclamés. L’ancien premier ministre, Emmanuel Valls n’avait pas hésité à parler, à juste titre, de ghettos, une situation que reconnaissent de
très nombreux responsables. Pour y remédier il existe un outil national, peu
coûteux et qui serait autant utile voire indispensable aux français comme à beaucoup
de citoyens de ce monde : il s’agit du Daeu (Diplôme d’accès aux études
universitaire) aujourd’hui seulement
accessible dans les villes universitaires. Un tel projet ferait, selon la thèse
d’Alain Bentolila, de l’éducation et le rayonnement de la francophonie le vrai
rempart contre la barbarie.
Hacène Rabah Bouguerra
Conseiller d’orientation scolaire et
professionnelle - Psychologue du travail
Fondateur et dirigeant d’Adc – Président
d’Euro-Med.
(1) Parmi
ces villes au nombre desquelles on peut
compter toutes les capitales du monde ou presque, figurait un petit
village lotois : Saint-Céré, le bien nommé ! Nous y assurâmes 13
promotions en partenariat avec l’université de Cambridge !
(2) Une
de nos promotions avait accueilli, Alain un « quadra plus », ingénieur
qualité … qui s’était retrouvé au chômage et dont le retour à l’emploi était
contrarié par les tests d’évaluation en
anglais. Il lui était difficile de rivaliser sur ce terrain avec les plus jeunes, sans doute mieux préparés. Alain prit la lourde
décision de s’éloigner de sa famille
pendant 3 mois, logeant à
l’internat du lycée voisin pour se consacrer à temps plein à la maîtrise de la
langue de Shakespeare (Il rentrait chez
lui toutes les fins de semaines ou tous les weekends, si vous préférez !)
… Alain conclut son stage très intensif par l’obtention de deux diplômes le Fce
et le Cae ! qu’il s’empresse
d’afficher en bonne place sur son Cv. Alain me racontait que depuis ce jour
aucun recruteur n’avait osé le soumettre à la moulinette de l’épreuve
d’évaluation. Pour les chasseurs de
têtes, Alain devait être au top ! puisqu’il est diplômé de
Cambridge ! Allons-nous nous plaindre des préjugés qui nous sont
favorables ?
(3) Ce
document nous apprend que dans une ville à l’est de la fédération de Russie. Le
responsable de l’Alliance française gérait sans doute l’établissement de
formation dont il avait la charge mais participait aussi à des campagnes télévisées de promotions de
produits variés, un peu comme ces émissions qui matraquent les téléspectateurs
tous les matins sur certaines chaînes. Pour des raisons obscures, nous dit-on, ce responsable fut arrêté, jugé
( ?) et emprisonné ! Vous voyez, la langue française mène à
tout ! On ne sait pas trop comment, le représentant de l’Alliance
française réussit à s’évader et trouva refuge auprès d’une représentation diplomatique à Moscou.
Il y resta quelques temps avant de prendre la décision de s’enfuir pour
regagner clandestinement la France où la chaîne publique lui offrit sur un plateau ! une tribune qui lui
permit de dire tout le mal qu’il pensait des services français qui,
pourtant, l’avait accueilli. Il
semblerait que ces derniers n’avaient pas suffisamment fait pour protéger ce
fonctionnaire des affaires étrangères détaché auprès de l’Alliance française …
mercredi 24 janvier 2018
Lettre à Monsieur le Président de la République.
Pas de Réponse !
Rabah Bouguerra
21
avenue Julien Bailly
46100
Figeac
Tél.
0565347192 ou 0679652322
E-mail.
h.r.bouguerra@gmail.com
Figeac le 27 septembre 2017.
Monsieur Emmanuel Macron
Président de la République
Palais de l’’Elysée
55 rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 Paris.
Lettre recommandée avec
avis de réception.
Objet :
Je sollicite votre protection.
Monsieur
Le Président de la République,
Je sollicite la
protection que vous nous promettez : je suis victime d’une
spoliation qu’il est difficile d’imaginer de nos jours. Et pourtant, elle
s’impose à l’analyse tant les preuves sont incontestables.
Dans
l’unique but de me spolier, un haut magistrat, Madame Martres Françoise, a pris à mon égard une décision discriminatoire
dont le caractère raciste est clairement établi.
Cette discrimination est strictement conforme à la définition légale et qui en fait un délit. En outre, aucune institution de la république
ne conteste mon accusation. Cependant la majorité d’entre elles, observe un
incompréhensible silence.
Que peut faire un simple citoyen contre un haut
magistrat qui commet un délit dans l’exercice de ses fonctions ? Rien… car
tout le système se met en action pour assurer sa protection.
Monsieur le Président de la République, je ne
conteste pas l’indépendance du juge mais je dénonce la faute grave qu’il a
commise et l’injustice qui en découle et dont je suis victime. C’est le silence
de toutes les institutions qui me conduit à me tourner ver vous.
Je ne citerai que le cas du conseil supérieur de la magistrature (CSM)
qui ne conteste nullement mon accusation mais rejette ma requête, au motif que
je n’aurais pas cité nommément le magistrat visé par ma plainte. Une
affirmation fausse et aisément vérifiable. Faut-il en rire ou en pleurer ?
En tout cas c’est bien triste pour le pays des droits de l’homme. 1/4
A l’origine
de cette situation.
Trois hors-la-loi, il ne s’agit pas d’une banale
expression, mais d’une réalité que même la justice ne pourrait que confirmer, ont
décidé de s’accaparer de l’organisme de formation que j’avais créé et développé
et ils y réussirent sans difficulté.
Cette opération a été rendu possible en raison des
relations particulières qu’entretenait l’instigateur de cette spoliation avec
le Procureur de la République. Autrement, comment pourrait-on comprendre cette décision
insensée prise par le magistrat de la cour d’appel : Madame Martres
Françoise ?
Décision raciste ou le droit à la tête du
client ? L’une comme l’autre est un déshonneur pour le corps des
magistrats et pour la République dont les valeurs inspirent toute l’humanité
L’auteur de ce forfait et ses deux complices
bénéficient d’un incroyable parti pris. Ils produisent des faux et extorquent
des témoignages. En fait, ils font la justice de la République. Chaque délit
constaté, a fait l’objet d’une plainte
que le procureur de la République classait systématiquement sans suite.
Un
détournement de fonds, que couvre un mystérieux silence de la justice.
Les auteurs de cette spoliation ont, en outre, détourné la somme de 200 000 €, et la
plainte comme l’enquête qui s’en est suivie demeurent aujourd’hui encore un
secret. Cinq ans plus tard, le parquet ne s’est toujours pas prononcé et
probablement, il ne le fera jamais, sans l’intervention d’une haute autorité
comme la vôtre.
Et comme si tous ces privilèges ne suffisaient
pas et alors que la cour d’appel venait
de condamner lourdement cet instigateur pour le licenciement de mon ancien
collaborateur, le TGI lui accorde une mesure de redressement, autrement dit,
une prime à la casse.
Ultime humiliation pour la justice de la
République, on apprend au moment de la liquidation judiciaire de l’organisme de
formation, que la secrétaire, d’à peine un niveau baccalauréat, était nommée en
qualité de directrice de l’établissement. L’auteur de ce désastre, n’a à aucun
moment été inquiété.
Au Conseil
de prud’hommes.
Un conseiller prud’homal, ami de la partie
adverse, a siégé et délibéré avec le résultat que nous connaissons. Après
bien des démarches, le Procureur de la république ne voulant rien entendre et
le Csm affirmant que cette institution n’entre pas dans son champ de compétences,
je reçus un courrier du Procureur général que je n’avais pas du tout saisi, me
signifiant qu’il n’y avait plus rien à faire !
2/4
La
Gendarmerie nationale.
L’auteur de ce désastre, un certain M. Exiga
Jean-Claude qui bénéficie de toutes les protections déclara devant le Conseil
de prud’hommes qu’il avait fait appel à
la gendarmerie pour me faire quitter le bureau. Ce qui est absolument faux.
Sollicités, la Gendarmerie comme le Procureur de la république, on refusé de
délivrer un document qui dirait tout simplement la vérité. Comment une telle
position est – elle possible ?
Pire encore, pendant des mois j’ai été, harcelé
par la gendarmerie qui voulait que je considère que la plainte pour
« prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux » contre M.
Exiga Jean-Claude et ses complices, comme ayant fait l’objet d’un classement
sans suite et ce contrairement à l’avis du parquet. Je confirme qu’à ce jour, cette plainte n’a donné lieu à aucune suite.
J’ai saisi la hiérarchie du Groupement
départemental à l’Iggn en passant par le Ministère de l’intérieur. Ce denier
observe, à ce jour, le même silence. Quant à l’Iggn, par la voix du général de
corps d’armée Philippe Marvillet, pour me signifier une fin de non recevoir,
m’indiquait que la décision a bien été prise. A ce propos, la hiérarchie, peut
me faire taire et même me faire condamner en produisant la dite décision.
Celle-ci n’a jamais existé. La Gendarmerie a le devoir d’impartialité, en
l’espèce elle le bafoue et le citoyen n’y peut rien.
Le conseil
de l’ordre des avocats au conseil d’Etat et à la cour de cassation.
Au cours de la procédure devant la cour de
cassation et bien avant le rejet de mon pourvoi, est apparue la décision
concernant mon ancien collaborateur dont la comparaison avec la mienne,
démontre clairement la discrimination dont je fus la victime. Malgré ses
engagements, mon avocate n’a pas remis ce nouveau moyen à la cour de cassation.
Je précise que ce moyen est du même ordre qu’une analyse Adn. Peut-on ne pas
tenir compte d’un tel résultat, même la veille d’un procès ?
Voilà cinq ans que j’ai engagé une procédure à
l’encontre de mon avocate. A ce jour, nous ne savons toujours pas pourquoi elle n’a pas respecté ses
engagements bien qu’elle ait été payée et bien que le code de déontologie pose
comme principe premier la défense des intérêts du client.
Monsieur Le Président de la République, dans cette
situation, le citoyen victime d’une erreur ou d’une faute, doit d’abord payer
les honoraires (entre 3000 et 4000€) – une surcouche à l’injustice - à un
avocat de la même institution. Le Conseil de l’ordre vous précise, malgré le
paiement d’honoraires, que l’avocat est « libre des ses écritures », autrement
dit le justiciable n’a presque aucune chance de faire valoir la véritable
version des faits.
Cette procédure est une violation flagrante de la
constitution.
Après maints contacts, au cours desquels j’ai
essuyé parfois des refus méprisants, j’ai dû faire des concessions pour trouver
un avocat qui présente une défense aux arguments très dépouillés mais dans laquelle il essaie de faire valoir
un préjudice moral, mince consolation quand la cour de cassation aura tranché.
3/4
Monsieur le Président de la République, mais pourquoi
la Cour de cassation ? Cette procédure viole le principe d’égalité et
signifie clairement que le citoyen-victime n’aura aucun autre recours.
Enfin cette procédure, introduite par une
victime, devait être gratuite et
entièrement indépendante de l’ordre des avocats aux Conseils.
Cependant cette dernière décision, même si elle m’était
favorable ne règlerait pas pour autant le problème de fond : mon
indemnisation.
Monsieur le Président de la république, je
voudrais que vous sachiez, alors qu’on parle d’un droit absolu, je n’ai pas pu
récupérer tous mes bulletins de salaire et que finalement l’universitaire que
je suis et qui a tant donné à la République,
bénéficie d’une retraite de 700 €. C’est ainsi, quand le système décide
de combattre un simple citoyen, il
s’arroge tous les droits et il n’a aucune limite.
Monsieur Le Président de la République, je n’ai
guère le choix, je dois récupérer mes indemnités. Aussi, je vous prie de
prendre une décision juste et équitable. L’Etat est responsable de ce magistrat
qui a pris cette décision qui déshonore la République. Rendez-moi justice et ce
faisant vous sauvez l’honneur de la république.
Il n’y a pas un mot dans mes propos qui puisse
être considéré comme diffamant et si tel était le cas que ceux que je dénonce engagent à mon
encontre des procédures judiciaires : ils ont été capables de me
dépouiller, ils seront capables de me faire condamner
Monsieur Le Président de la République,
naturellement, j’avais saisi vos prédécesseurs. Eux, préféraient ne rien dire
et ne rien faire, comme si le silence était une solution. J’avais saisi les
parlementaires, notamment ceux de mon département, aujourd’hui ralliés à votre
mouvement, jamais ils n’ont dit à mes adversaires, en réalité leurs amis, que
leurs actes étaient contraires à tout : à la morale comme aux lois de la
république.
Plus que jamais une solution amiable, juste,
équitable et respectueuse des droits du citoyen, s’impose. Ce faisant, elle préserve l’honneur
de la justice de la république et celui
de ces nombreuses personnalités qui ont été associées à ce sordide dossier.
Je demeure à la disposition des services de
l’Etat.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président de
la République, à l’expression de mon profond
respect.
Rabah
Bouguerra
Pièces
jointes :
-
Histoire
d’une spoliation …(les principaux moments)
-
Projet
de mémoire … (Ou comment le système se protège ?) 4/4
Le racisme d'état, une bien triste réalité !
Quand Monsieur , Emmanuel Macron, le Président de la République, déclarait : " je vous protégerai", naïvement je pensais qu'il m'incluait dans ce "vous" , comme il y incluait toutes les victimes des injustices...Ni lui , ni l'esprit de ce mouvement En marche ...ni les membres de son gouvernement ne semblent faire écho aux douleurs du peuple ... Ecoutez-les , ils sont partout , radios , télés, journaux ...mais tout est faux, tout est mensonge.
Je pensais que Monsieur Emmanuel Macron réagirait à au moins une accusation : le racisme de la justice de la république !
Oui, Monsieur Emmanuel Macron, le racisme d'état existe aussi et je vous en ai communiqué les preuves.
mardi 7 novembre 2017
Appel à Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République
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