Rabah Bouguerra
21 avenue Julien Bailly46100 Figeac
Tél. 05 65 34 71 92
E-mail : h.r.bouguerra@gmail.com
Figeac, le 13 Décembre 2012.
Lettre ouverte
Monsieur
Couchouron Yves
46400
Saint-Céré
Le mardi 11
Décembre dernier, vous aviez représenté le président de l’association ADC, à
l’audience du conseil de prud’hommes du Lot. Croyez-moi, Monsieur, je regrette
de vous avoir infligé ces moments si pénibles. J’ai pu observer votre souffrance
et j’en suis navré. Vous m’avez mis dans l’obligation de me défendre et je le
ferai jusqu’à la mort. Surtout ne m’en voulez pas car vous devez en vouloir surtout à celui qui vous
a envoyé. Pour une situation similaire les berbères disent : «Vas-y ô
Renard, toi, tu as le museau
long ! »
Monsieur,
sachez que si la vérité blesse, le mensonge tue. Vous n’avez pas contesté mes graves
accusations. Encore une fois, si vous vous estimez diffamé, déposez plainte
contre moi. Dire que M. Couchouron, militant du PS s’est associé à Mme
Martignac de l’UMP, pour me licencier n’est pas diffamant. En réalité, il
s’agit d’une spoliation. Vous m’avez arraché le pain de la bouche, un pain si amer
et cela ne semble pas vous choquer outre
mesure. Avec vos amis, vous m’aviez spolié, comme le furent les juifs au cours
des pages sombre de l’histoire de France. J’ai été dépouillé par des
hors-la-loi. J’ai porté cette accusation
contre vous devant le conseil de prud’hommes. Ni vous, ni votre avocate, n’aviez contesté ce fait. Il
n’est cependant pas contestable. Mais qu’aviez –vous à gagner en agissant de la
sorte. ? Mais, observez dans quel état vous mettez votre famille ! et
la société toute entière.
Madame
Couchouron a-t-elle la bonne version ? Et Philippe ? Avec tout ce que
vous avez fait, vous trouvez la force de vous attabler en face de votre épouse,
de vos enfants et petits-enfants…sans que ces hideuses images ne viennent
troubler ce qui devait être une paisible retraite ? Et vous dormez
comment ? Si vous aimez un peu la littérature, je vous renvoie vers cet
autre berbère, Mouloud Feraoun, vous comprendrez alors ce qu’est « Le
sommeil du juste »
Si vous
l’aviez voulu, vous, M. Couchouron, ce conflit d’ADC n’aurait jamais dû
exister. Comment avez-vous pu vous ranger du côté de l’ignominie ?
Aujourd’hui, des plaintes sont déposées contre vous et contre les autres, où
sont passés les 200 000 € ? …Et la liste est longue de ces multiples
infractions qui ne peuvent que vous conduire à nouveau devant la justice.
Qu’avez-vous
fait pour que des magistrats prennent à mon égard une décision discriminatoire
à caractère raciste ? J’ai la preuve, vous aussi, ainsi que votre avocate. Je le dis
publiquement. Si cela relevait d’une diffamation, je serais déjà en prison. Je
peux vous assurer que bientôt le peuple le saura et le désastre judiciaire fera
la une des journaux. Nul ne peut se réjouir d’un tel état. Ma spoliation
apparaîtra comme un véritable Outreau ! Sans doute les magistrats
concernés seront sanctionnés. Pas vous ? Je serai à nouveau devant pour
vous rappeler le calvaire que vous m’infligez !
Monsieur
Couchouron, Vite, sauvez votre âme,
soulagez votre conscience… allez à la
Gendarmerie et faites une déposition … Ecrivez à M. Le Préfet… Adressez une requête à M. Le Procureur de la république… Sollicitez M.
le Président de la république … A toutes les institutions, dites la
vérité, seulement la vérité mais toute la vérité…avant qu’il ne soit trop tard.
Hacène Rabah Bouguerra
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Dites ce que vous voulez mais seulement la vérité ... Attention la diffamation, l'injure sont des délits.